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Si vous avez livré autant de monodoses en France à ce moment, c'est donc bien parce que c'est ce qui vous était demandé.
Le fait que l'on vous demande d'accroître cette production vous a-t-il conduit à modifier celle d'autres vaccins ?
Je vous ai entraîné sur d'autres terrains, mais j'aimerais que vous répondiez à ma question sur le prix des différentes formes du vaccin. Pouvez-vous par ailleurs nous dire si la France est le seul pays qui vous a demandé de livrer des monodoses ? Enfin, combien de temps après son ouverture un flacon de multidoses est-il périmé ?
Lorsque vous répondez à l'appel d'offres en 2005, il n'y a donc pas de prix différent pour le vaccin mono ou multidoses : vous fixez un prix global et vous livrez en fonction de vos capacités.
Une coordination européenne des commandes et des décisions, notamment pour les préréservations, présenterait-elle selon-vous une utilité pour augmenter les capacités industrielles ou vaut-il mieux se concentrer sur le vaccin saisonnier ? Pour dire les choses autrement, le fait que les États se soient livrés une certaine concurrence a-t-il posé ...
Vous évoquez les États-Unis. La vaccination s'y est faite de façon totalement différente, sous la forme de sprays, dont la production est plus rapide. Quel jugement portez-vous sur ce mode de protection, qui a permis de couvrir un plus grand nombre de personnes que nous n'avons été capables de le faire ?
Vous avez suivi comme nous la polémique sur les experts. J'imagine que vous êtes, comme vos concurrents, disposés à publier l'intégralité des contrats que vous avez passés avec eux.
Qu'est-ce qui empêche de le faire dès aujourd'hui, comme les laboratoires américains ?
Pourquoi faudrait-il instituer en France une obligation légale pour que vous y fassiez ce que vous faites déjà aux Etats-Unis ?
Si je comprends bien, vous préféreriez qu'une obligation légale impose les mêmes règles à tous, cette publication pouvant avoir un effet dans un cadre concurrentiel.
Qui plus est, il n'y a pas de raison pour que la communication se limite aux activités de recherche exercées en France.
Il me reste à vous remercier d'avoir participé à cette audition.
De quand date cette information ?
Vous avez parlé d'un à trois morts par an de grippe saisonnière pour cinq hospitalisations, que vous avez voulu comparer aux 1 200 hospitalisations et 300 morts de grippe pandémique. Mais on retient généralement l'idée que la grippe saisonnière cause, directement ou indirectement, le décès de 3 000 personnes par an. Vous comparez donc des chiff...
Et ce sont ces un à trois morts de syndrome de détresse respiratoire aiguë que vous comparez aux 300 morts dont vous avez parlé ?
Comme nous l'a expliqué un sociologue, la première des raisons était le doute sur la sévérité du virus.
L'anormalité n'est pas nécessairement une tare, cher docteur Jean-Marie Le Guen.
Vous avez indiqué que l'on pouvait prévoir un redémarrage de la pandémie cette année, entre mai et septembre, dans l'hémisphère Sud. Pourrait-elle également survenir au Nord ? Dans ce cas, et comme, à l'heure actuelle, aucune décision n'a été prise concernant l'avenir, il vous est possible de formuler quelques suggestions.
Dans la mesure où la situation en France est différente de celle de la Suède, de la Hongrie ou du Canada, est-ce que vous recommanderiez la vaccination pour la saison prochaine, en particulier avec un vaccin trivalent ?
C'est le conseil que vous donneriez pour l'utilisation, l'année prochaine, des nouveaux vaccins trivalents ?