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Non !
C'était un acte manqué !
Allons, allons !
Nous étions alliés, en 14 !
Monsieur le ministre, permettez-moi de vous rappeler la petite anecdote que m'a racontée un ami britannique qui fut le secrétaire particulier de Mme Thatcher au moment de la crise des Falkland ou des Malouines. La tâche la plus difficile de sa vie, m'a-t-il dit, a été d'aller à Washington pour demander des photos aériennes de l'état des forces ...
Eh bien, dites donc !
Très bien !
Vous avez raison !
Bravo !
On s'en fiche, cette politique n'existe pas !
Exactement !
Bravo !
Bravo !
Cela fait des siècles que vous le dites !
Monsieur le ministre, comme j'appartiens à la majorité et que je vous soutiens, je dirai à propos de votre budget qu'il est le moins mauvais possible. Cependant, il n'est pas admissible que les affaires étrangères subissent des réductions de crédits depuis plus de cinq ans et que, depuis 1990, le nombre des agents de l'État et des agents diplom...
à un moment où la situation internationale ne fait que se dégrader chaque jour davantage.
Il est urgent, et je m'adresse à l'ensemble de nos collègues car nous avons une responsabilité collective, de redresser la barre. Au-delà des questions budgétaires, qui sont essentielles, je me pose la question de savoir quelle politique étrangère nous devons mener. Doit-on toujours rêver d'une Europe puissance, véritable chimère, ou doit-on r...
La Méditerranée et l'Afrique portent aujourd'hui toutes les ruptures géostratégiques qui peuvent atteindre directement la France et l'Europe. Démographiques : 250 millions d'habitants en 1950, un milliard en 2000 et, dans vingt à trente ans, 1,6 à 1,7 milliard. Il y a là une bombe démographique à nos portes, à deux heures de Paris, qui engendr...
C'est une priorité car nous ne saurions laisser entre les mains d'un certain nombre d'intégristes le monopole de la pensée dans ce domaine. Ce sont les raisons pour lesquelles nous devons réorienter tous nos moyens vers la Méditerranée et l'Afrique. Cela signifie privilégier nos actions bilatérales dans chacun de ces pays. L'heure n'est plus a...
et cette obligation vous incombe. Quelle que soit la valeur de nos alliances, nous savons depuis Virgile que nous ne pouvons avoir confiance dans l'alliance avec un puissant. Les États n'ont pas d'amis, c'est à nous et à nous seuls de défendre nos intérêts.