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Je comprends la déception de M. Paul, mais l'amendement de Mme Poletti sous-amendé permettra de donner une information extrêmement importante. C'est la sagesse qui prévaut et je suis convaincu que ce sera utile. On se plaint aujourd'hui que les jeunes qui entrent dans la filière médicale ne savent pas exactement à quoi ils vont devoir se référ...
J'avoue avoir du mal à comprendre ce que souhaitent Mme Fraysse et M. Paul.
Mme la ministre vous a expliqué que le nouveau mode de financement était différent mais, bon an mal an, assez superposable. (M. Jean-Marie Le Guen s'esclaffe.) Il est certain que si, dans un centre de santé, vous voyez vingt personnes par jour et que vous avez trois secrétaires, vous allez au-devant de problèmes de fonctionnement. (Protestation...
Il faut dire la vérité
Vous tournez autour du pot depuis un moment et on ne sait pas ce que vous voulez !
Ces centres de santé fonctionnent-ils ? Là est la question. Nous ne sommes pas opposés à l'existence de tels centres, au contraire, car ils peuvent constituer une réponse ; mais à condition qu'ils fonctionnent ! S'ils ne répondent pas à un besoin, si, sans parler de rentabilité, ils coûtent plus chers que les actes qui y sont réalisés, ils ne s...
Nous considérons tous qu'il faut trouver une solution. Reconnaissez toutefois que certains centres de santé sont mal gérés ou fonctionnent mal ; n'ayez pas peur de l'admettre ! (Protestations sur les bancs des groupes SRC et GDR.)
Je ne dis pas qu'ils fonctionnent tous mal, certains s'en sortent.
Efforçons-nous plutôt de trouver les raisons du mauvais fonctionnement de centres qui ne répondent pas à un besoin de santé publique et trouvons les solutions pour qu'ils soient efficaces dans des quartiers précis.
Oh non, pitié !
Mais tout cela ne relève pas du domaine de la loi !
Madame la ministre, vous avez une tâche quasiment impossible et tous les ministres de la santé successifs s'y sont cassé les dents.
Gérer des effectifs médicaux, c'est comme piloter un bateau dans un port : l'inertie est extraordinaire. Cet article 15 concerne essentiellement le numerus clausus de la première année de médecine mais également celui des internes. La logique voudrait que, quand on prend une décision, elle concerne les générations à venir, mais on sait que les ...
D'où la nécessité d'aller au-delà, en proposant des mesures de régulation à effet pratiquement immédiat.
Monsieur Bapt, vous semblez connaître la solution, mais, si elle était si simple, il n'y aurait pas de débat entre partisans de la coercition et défenseurs de l'incitation. La coercition paraît de prime abord séduisante, car on croit pouvoir jouer avec tous les effectifs. Cependant les jeunes médecins qui s'installent le font aujourd'hui à l'â...
C'est à tort que l'on répète, par exemple, que l'on manque d'ophtalmologistes. La difficulté vient de ce que leur temps médical est en grande partie utilisé à prescrire des verres correcteurs, tâche que pourraient effectuer des spécialistes des professions paramédicales. De même, du fait de la rémunération à l'acte, l'accouchement est effectué ...
Je suis heureux de l'accord qui s'exprime sur tous les bancs pour renforcer le rôle des sages-femmes. À cet égard, je veux rendre hommage à Mme Poletti, qui défend cette profession de manière extraordinaire. Permettez-moi toutefois d'exprimer un regret. Nous avons examiné il n'y a pas si longtemps un projet de loi relatif à la réforme des étud...
Si nous votions votre amendement, monsieur Muzeau, nous irions vers la bunkérisation de l'hôpital.
Nous couperions l'hôpital à la fois de la médecine de ville et des établissements privés. Nous voulons au contraire permettre à des professionnels libéraux d'accéder à l'hôpital. Comme cela a été dit, ils le peuvent déjà aujourd'hui, avec le titre d'attachés. Le but du texte est de détacher les attachés pour leur permettre de venir dans les ét...
Non ! Il faut ménager de la souplesse.