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Pas du tout, elles sont emboîtées les unes dans les autres !
De quoi je me mêle ?
Vous y habitez ?
« Justice sociale », vous n'avez que ces mots à la bouche !
Eh oui !
Allons bon !
On la voit venir !
Oh !
La vérité dérange !
Ça en fait des choses !
Et moins d'élèves !
C'est incohérent !
Très bien !
Le projet de loi de finances pour 2011 que vous nous présentez, monsieur le ministre, et que vous qualifiez à juste titre d'historique porte indéniablement la marque de votre volonté de répondre à deux impératifs : agir sur nos dépenses tout en soutenant la reprise économique. Un court instant, je pense utile de revenir sur la crise, dont je v...
Du moins peut-on reconnaître qu'elle aura eu un effet bénéfique en nous obligeant à nous poser la question du sens, à creuser en nous-mêmes et à regarder de plus près nos dépenses en particulier. Les budgets sont des moments de vérité. Ils se succèdent les uns les autres, nous ordonnant de trouver, en fonction de la situation, des équilibres t...
Les lectures nous amènent parfois à des constats étonnants, tant elles sont parfois d'actualité. Sans remonter à Turgot, comme l'a fait Richard Mallié, je veux livrer à votre réflexion les propos de l'homme maintes fois cité dans cette discussion générale, surnommé « le surdoué des finances », je veux parler d'Edgar Faure : « Il n'y a pas un éq...
« J'ai cru devoir insister quelque peu sur ce sujet parce que c'est peut-être sur ce point que s'acharne avec le plus de violence une propagande démagogique qui tend à démontrer aux Français que leurs affaires iraient parfaitement bien si l'on ne gaspillait pas et si le train de vie de l'État n'était pas trop élevé. Les auteurs de ces campagnes...
Monsieur le président, monsieur le ministre, chers collègues, par définition supérieur aux lois ordinaires, le projet de loi organique, d'apparence purement technique, que nous sommes appelés à voter est cependant d'une importance majeure dans la mesure où il concerne le financement de la dette sociale. Lors de nos débats, il est un point qui ...
C'est se montrer quelque peu réducteur. Il est impératif de dire la vérité ; or vous oubliez de préciser que nous étions alors en pleine croissance et que l'ONDAM atteignait 6 à 7 %
, contre 3 % en 2010 première et seule année où il a été respecté et 2,9 % en 2011, puisque tel est le chiffre que vous nous avez annoncé, monsieur le ministre. La gauche a donc engrangé les fruits de l'embellie économique des années 1998 à 2000, sans faire aucun effort en matière de dépenses, qu'il s'agisse de maladie ou de retraite. (Ap...