Je partage les préoccupations de notre collègue Aurélie Filippetti. Il ne s'agit pas de faire de procès d'intention sur les motivations que peuvent traduire ces amendements, même s'ils arrivent après d'autres plus explicites à cet égard. Ces amendements me préoccupent car ils posent eux aussi la question de l'avis éclairé des personnes concernées par cette information. Cet éclairage est extrêmement compliqué et je pense que la communication d'une liste d'associations pouvant être rencontrées constitue en soi une pression.