Nous avions abouti à la conclusion que six commissions ne suffisaient pas et que deux d'entre elles, beaucoup trop étendues – affaires économiques et affaires sociales – devaient être divisées. Ce qui, pour les quatre autres, ne signifie pas qu'il faille en rester au statu quo : rien n'interdit de retoucher leur périmètre et de repenser l'organisation générale en recherchant un meilleur équilibre. Le nombre de huit commissions correspond à ce que souhaitaient tous les groupes politiques durant cette législature.