Cela répond à la même logique. Du fait d'un nombre insuffisant de commissions, nous ne pouvons légiférer dans de bonnes conditions ni effectuer le fameux contrôle. Il faut donc en augmenter le nombre. Nous proposons de le porter à dix, pour les raisons déjà exposées mais aussi parce que cela permettrait, dans le cadre de notre règlement, de partager plus équitablement les présidences avec l'opposition… (« Nous y voilà ! » sur les bancs du groupe de l'Union pour un mouvement populaire.)