Nous devions donc, dans deux ans, obtenir la dérogation. Ensuite, nous étions censés pouvoir procéder à l'approvisionnement à partir du Venezuela ou encore de Trinidad-et-Tobago – bref, de pays tout proches –, ce qui aurait pour résultat un effondrement des prix. Par conséquent, monsieur le ministre, la sagesse ne consisterait-elle pas à tenir bon, à montrer que l'Assemblée nationale n'est pas contente et qu'il faut arrêter de gaspiller les fonds publics ?