La disparition du DIC va pénaliser les clubs, et non les sportifs.
Il y a un arbre qui cache la forêt et on a bien compris que l'arbre c'est le monde du football. Pour ma part, je vous parlerai de la forêt que je connais bien, c'est-à-dire du basket-ball, du handball, du volley-ball. Pour illustrer mon propos, je citerai un extrait d'un article du Midi olympique qui est très clair : La disparition pure et simple du DIC constituerait un sérieux manque à gagner pour les clubs. Dans l'exemple de Montpellier, cela constituerait un manque à gagner de l'ordre de 900 000 euros.