…et sur l'impôt du sang. Nous ne demandons pas à connaître les noms et prénoms des hommes engagés dans les forces spéciales que l'on envoie dans les montagnes d'Afghanistan. Mais nous entendons connaître le format, l'objectif, le nombre de soldats engagés ; le Parlement veut pouvoir juger en connaissance de cause.
Le Gouvernement dira ce qu'il voudra, car il n'existe pas de sanctions à cette obligation morale vis-à-vis du Parlement. Mais celui-ci doit avoir la maîtrise de la défense de la nation. S'il existe des représentants de la nation, c'est ici qu'ils se trouvent !