Il convient aussi de savoir s'adapter aux circonstances. On me dit qu'il ne faut pas toucher tous les deux ou trois ans au système fiscal. Pourtant nous prenons bien, dans le cadre de ce collectif, que nous approuvons, des mesures en faveur des bas revenus en supprimant deux tiers provisionnels. Pourquoi ne pas s'adapter aussi à un autre niveau ?
Troisièmement, il faut prendre en compte la dimension du temps.
L'art de la politique, y compris fiscale, c'est de « faire bouger les lignes », comme on dit aujourd'hui.