Vous pouvez ne pas partager mon avis, souffrez que je vous le donne.
Je souhaite répondre à M. Dosière qui, tout à l'heure, avec une grande sollicitude, une grande amitié et une grande compassion, s'est étonné de constater que, parfois, la majorité restait coite. Je trouve, monsieur Dosière, très piquant que vous vous intéressiez au temps de parole de la majorité, vous qui depuis des heures défendez celui de l'opposition.