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Vous n'avez pas toujours été de cet avis, monsieur Muet !
On espère que non !
Non !
Vous venez de reconnaître que vous êtes opposés au quotient familial !
Ce n'est pas le patrimoine qui paie l'impôt, ce sont les gens qui le détiennent !
On a toujours pensé que vous les connaissiez bien !
J'espère qu'ils comprennent plus vite que vous !
On ne peut pas se flatter d'être modeste !
Et en anciens francs ?
La réforme dont nous discutons, depuis plusieurs jours, est juste et solide. Vous nous dites qu'avec cette réforme, des Français auront le sentiment qu'il y a une injustice. Monsieur Brard, vous dites qu'aucun de vos électeurs soumis à l'ISF n'est venu vous dire qu'il fallait réformer cet impôt. Mais combien d'électeurs sont venus vous dire qu...
Supprimez l'ISF !
Alors il faut chasser ceux qui restent !
Très juste.
On y entre à 790 000 euros !
Pourtant vous venez de vous acharner contre les détenteurs de patrimoine de deux millions d'euros !
Ainsi que l'a indiqué le rapporteur général tout à l'heure, le débat sur le barème et le nombre de tranches n'est pas illégitime. Toutefois, certaines choses qui ont été dites ce soir, sans doute par esprit sportif, méritent que l'on s'y arrête. M. Eckert nous a expliqué en somme que, dès lors qu'une mesure concerne peu de monde, on peut faire...
Il me semble qu'en démocratie, il n'est pas légitime d'agir ainsi. Mme Mazetier a stigmatisé en des termes particulièrement peu élégants telle ou telle catégorie de nos concitoyens ; c'est, là aussi, une manière de faire qui n'est pas convenable. Quant à notre excellente collègue Chantal Brunel, elle a tenté de nous convaincre d'adopter son a...
Ce n'est pas ainsi que l'on fait les meilleures lois. Enfin, monsieur le président de la commission, vous et vos collègues du groupe socialiste nous avez expliqué pendant de longues heures combien il était scandaleux de réformer l'ISF pour des contribuables dont le niveau de fortune se situait aux alentours d'un million d'euros, et maintenant,...
Vous découpez le sujet en morceaux de plus en plus petits, considérant que plus les publics visés sont restreints, plus on peut dire de bêtises.
Monsieur le président, monsieur le ministre, mes chers collègues, il est intéressant d'intervenir après M. Derosier, dont les propos, comme nombre de ceux tenus par les élus de l'opposition, sont marqués par bien des outrances. Il pense que tout mouvement de la majorité serait à considérer comme un aveu, en s'appuyant sur des chiffres triturés ...