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Les amendements de Henri Emmanuelli pour ce dossier

40 interventions trouvées.

Avec un nom pareil, j'ai du mal à comprendre comment M. Blum n'est pas encore au Gouvernement ! Son nom est meilleur que celui de Frédéric ! (Sourires sur quelques bancs.)

Madame la ministre, vous nous expliquez depuis hier soir que l'adoption de la solution défendue par le rapporteur général ou par M. Laffineur aurait pour conséquence de faire des perdants. Or, c'est une contrevérité : peut-être certains gagneront-ils moins que ce qui était prévu, mais personne ne perdra. Il ne me paraît pas correct d'affirmer à...

Madame la ministre, vous nous expliquez depuis hier soir que l'adoption de la solution défendue par le rapporteur général ou par M. Laffineur aurait pour conséquence de faire des perdants. Or, c'est une contrevérité : peut-être certains gagneront-ils moins que ce qui était prévu, mais personne ne perdra. Il ne me paraît pas correct d'affirmer à...

Monsieur Copé, je vais dire à voix haute ce que quelqu'un vient de dire à voix basse : vous êtes l'inventeur de la coproduction, mais c'est pour la cocu-production que vous passerez à la postérité ! (Protestations sur les bancs du groupe UMP.)

Monsieur Copé, je vais dire à voix haute ce que quelqu'un vient de dire à voix basse : vous êtes l'inventeur de la coproduction, mais c'est pour la cocu-production que vous passerez à la postérité ! (Protestations sur les bancs du groupe UMP.)

Est-ce que ce sont elles qui vont faire vivre la France ? Est-ce que ce sont ces entreprises qui créent de la richesse ?

Est-ce que ce sont elles qui vont faire vivre la France ? Est-ce que ce sont ces entreprises qui créent de la richesse ?

Monsieur le rapporteur général, lorsque nous retirons de la valeur ajoutée des plus-values de cession pour les compagnies d'assurance, comme nous l'avons fait précédemment, vous n'allez pas m'expliquer que cela augmentera la valeur ajoutée ! Ce n'est pas rien cette affaire : c'est énorme ! Vous nous dites que, parfois, la valeur ajoutée dimin...

Monsieur le rapporteur général, lorsque nous retirons de la valeur ajoutée des plus-values de cession pour les compagnies d'assurance, comme nous l'avons fait précédemment, vous n'allez pas m'expliquer que cela augmentera la valeur ajoutée ! Ce n'est pas rien cette affaire : c'est énorme ! Vous nous dites que, parfois, la valeur ajoutée dimin...

C'est la Passion de Marc Laffineur ! (Les sous-amendements nos 726 et 334, repoussés par la commission et le Gouvernement, successivement mis aux voix, ne sont pas adoptés.)

C'est la Passion de Marc Laffineur ! (Les sous-amendements nos 726 et 334, repoussés par la commission et le Gouvernement, successivement mis aux voix, ne sont pas adoptés.)

Ce n'était en effet pas très glorieux ! (La motion de renvoi en commission, mise aux voix, n'est pas adoptée.)

Madame la ministre, monsieur le ministre, tout à l'heure M. Chartier souhaitait que la discussion soit constructive. Cela n'a pas toujours été le cas depuis l'ouverture de ce débat, mais celui-ci nous a quand même ménagé quelques bons moments. J'ai ainsi trouvé plaisant que vous nous expliquiez qu'aucun gouvernement n'avait mieux géré que vous ...

Je n'en doute pas, car je ne doute pas que l'on puisse dire n'importe quoi en permanence ! Vous nous avez offert un deuxième bon moment quand vous nous avez expliqué que vous aviez réalisé des économies en supprimant 100 000 postes de fonctionnaire, et que cela représentait 3 milliards d'euros. C'est bien ce que vous avez dit, n'est-ce pas ? V...

Vous avez appelé cela de la bonne gestion, j'ai quand même du mal à y croire. Je ne sais pas dans quel système comptable vous vous inscrivez, ou de quel système vous vous inspirez, mais avouez qu'il est difficile de prendre cela au sérieux. De la même manière, madame la ministre, je vous remercie, moi qui vous lis toujours avec beaucoup d'atte...

Si ! C'est ce que vous avez dit dans Les Échos hier. Vous avez en effet indiqué que la proposition qui consistait à prendre des participations dans les banques au lieu de leur fournir ces titres qui les ont sauvées sans entraîner aucune dilution du capital, sans aucune contrepartie en termes de pouvoir dans l'entreprise, était ridicule. Nous, n...

Monsieur Bouvard, il me semble que, avant la crise, nous étions déjà en déficit de plus de 45 milliards d'euros. Cela ne vous a pas échappé. Et l'année précédente aussi. Et celle d'avant aussi ! À moins que vous perdiez vos lunettes quand vos amis gouvernent, cela n'a pas pu vous échapper. La crise a aggravé les choses, oui, mais nous n'étions ...

Si, si ! Parce que c'est lui, tout à l'heure, qui vous a expliqué qu'il faudrait quand même quelques recettes face à ces déficits. Or vous avez répondu en substance : « Les socialistes, on ne sait pas ce qu'ils veulent. Ils veulent qu'on baisse les impôts, ils ne veulent pas qu'on fasse du déficit. » Non, nous ne vous avons pas demandé de baiss...

C'est la raison pour laquelle aujourd'hui le chômage y augmente beaucoup moins vite que chez nous, sans doute aussi la raison pour laquelle ils retrouveront un niveau d'emploi cohérent quand nous serons toujours en train d'enregistrer des pertes d'emplois, même si, comme vous le dites souvent de façon formidable, madame la ministre, la hausse d...

S'il est vrai que, au départ, la compensation a été faite mais pas à l'euro près, comme l'a prétendu M. Copé , par la suite, la dynamique des dépenses ne l'a pas permis. Dans mon département, par exemple, j'en suis à 42 millions d'euros pour un budget de 500 millions. Vous avez donc tout fait à l'envers, et c'est ce qui nous préoccupe. Vous...