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Interventions en commissions de Gilles d'Ettore


48 interventions trouvées.

Je voudrais d'abord remercier Mme Valérie Fourneyron, présidente de notre mission, dont les compétences dans le domaine sportif nous ont été très précieuses, les représentants du CNOSF, présents avec nous ce matin, ainsi que, plus largement, tous les représentants du monde sportif qui sont venus s'exprimer devant notre mission, dont beaucoup de...

Le modèle français est effectivement spécifique. Même si les fédérations acceptent mal l'intervention de l'État et le dirigisme, elles doivent aujourd'hui faire preuve de transparence. De même, le sujet des rémunérations est central et il semblerait opportun de mettre en place des seuils dans la fixation des rémunérations, comme il existe par e...

La gratuité non seulement se révèle être un échec, mais ne vaut pas pour tout le monde puisqu'elle est payée in fine par le contribuable, à hauteur de 23,1 millions d'euros en 2010. Quant à l'autonomie, elle doit également valoir sur le plan financier. Or, les dépenses de l'État en faveur des musées nationaux n'ont cessé de croître depuis dix a...

La gratuité non seulement se révèle être un échec, mais ne vaut pas pour tout le monde puisqu'elle est payée in fine par le contribuable, à hauteur de 23,1 millions d'euros en 2010. Quant à l'autonomie, elle doit également valoir sur le plan financier. Or, les dépenses de l'État en faveur des musées nationaux n'ont cessé de croître depuis dix a...

J'avais déjà entendu Mme Lemesle à l'occasion de la préparation de mon rapport sur la valorisation de notre patrimoine. Le Centre des monuments nationaux fonctionne d'une façon très satisfaisante : il mériterait de gérer bien davantage de monuments et de devenir un véritable « office du tourisme national ». Notre pays a la chance unique de dis...

Nous devons examiner ce budget à la lumière de la loi du 27 juillet 2010 relative à l'action extérieure de l'État, dont j'étais le rapporteur pour avis. Ce texte a mis en place trois établissements publics à caractère industriel et commercial pour mettre en oeuvre une politique qui comporte trois grands volets. Présidé par M. Xavier Darcos, l'...

La Commission des affaires culturelles a également eu ce débat. En ma qualité de rapporteur pour avis, je me suis rangé à la position du rapporteur au fond : laisser au ministre la liberté de nommer ou non un membre de l'Assemblée des Français de l'étranger au conseil d'administration, et laisser à l'Assemblée la liberté de choisir son représen...

Je rappelle que ce projet de loi vise à rendre plus lisible et à renforcer l'action de la France à l'étranger, mais également à mutualiser nos moyens. Or je ne suis pas certain que la création d'un troisième EPIC contribue à ce dernier objectif. Passons donc sur le nom passablement barbare AFEMI proposé pour la nouvelle structure : toutes ...

La partie du projet de loi qui concerne plus spécialement notre Commission est celle qui a trait à la création de deux agences : l'Agence pour l'action culturelle extérieure et l'Agence française pour l'expertise et la mobilité internationales, cette dernière étant spécialement chargée de contribuer à l'accueil des étudiants étrangers. Toutes d...

La précision est inutile. Comme il l'a indiqué hier, le ministre des affaires étrangères va arrêter, en liaison avec le ministre chargé de la culture, la stratégie culturelle extérieure, et les conventions pluriannuelles conclues avec les nouveaux établissements publics se conformeront bien évidemment à ces orientations.

Ce que vous proposez va de soi : on ne réforme pas, au bout de trente ans, l'action culturelle extérieure sans qu'il y ait, derrière, une stratégie politique. Sinon, l'agence que l'on met en place ne serait qu'une coquille vide.

Il s'agit d'une précision de procédure concernant la signature des conventions entre l'État et les établissements publics.

L'amendement exclut des dispositions de l'article les établissements publics régis par le code monétaire et financier afin de ne pas soumettre l'Agence française de développement (AFD) à la tutelle de la nouvelle Agence culturelle extérieure. Le ministre des affaires étrangères s'en est d'ailleurs expliqué au cours de l'audition d'hier.

Avis défavorable. Le sujet a déjà fait l'objet d'un long débat au Sénat et nos collègues ont estimé qu'augmenter l'effectif de ces conseils d'administration ne serait pas un gage d'efficacité. Cette position nous semble sage, d'autant que cette représentation des Français de l'étranger peut déjà être assurée de deux façons. En premier lieu, le ...

L'engagement pris par le ministre et la faculté donnée au Sénat, dès maintenant, ainsi qu'à l'Assemblée nationale après 2012, me paraissent suffisants. Les conseils d'administration comprennent déjà deux députés et deux sénateurs. On ne peut, raisonnablement, en augmenter l'effectif.

Dans cet esprit, il est vrai qu'à défaut d'ajouter un membre au conseil d'administration, il pourrait être précisé qu'un des deux sénateurs sera un représentant des Français de l'étranger.

Mais il est un peu gênant d'introduire ainsi un déséquilibre entre le Sénat et l'Assemblée, où ne sont pas encore représentés les Français de l'étranger

Avis défavorable. Cette dérogation vise à éviter une composition pléthorique des conseils d'administration. Elle s'applique déjà à l'Agence française de développement (AFD), dont le conseil comporte seize membres, dont deux représentants du personnel. Celui de l'Agence en comptera vingt-quatre et celui de l'Institut français vingt.