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On a bien compris que vous vous faisiez parfaitement l'écho du Président de la République et du Gouvernement sur le sujet du nucléaire mais je regrette certains doutes et certaines absences dans vos propos. Vous avez parlé d'« accident nucléaire japonais » : en vérité, sauf erreur, c'est une catastrophe naturelle qui, ensuite, a eu des conséqu...
Je parle moins bien finance que vous ne parlez politique, monsieur le gouverneur, et j'ai particulièrement goûté votre formule très diplomate sur la complexité du processus politique en Italie. Pour parler plus crûment, nous ne comprenons pas grand-chose à ce qui se passe. On ne cesse de nous rassurer, mais à chaque fois que nous soulevons plu...
Je demande la parole pour un rappel au règlement.
Monsieur le président, mon rappel au règlement est fondé sur l'article 58 ; je vous laisse choisir l'alinéa le plus adapté. Nous constatons que l'ordre du jour de la semaine prochaine n'a pas été modifié. Il est en effet toujours prévu que nous débattions dès mardi de l'énième proposition de loi dite de « simplification du droit » de M. Warsma...
Monsieur Geoffroy, représentant du président de la commission des lois, n'est nullement le détenteur de l'équité dans cet hémicycle. Par ailleurs, il est tout à fait inconvenant d'affirmer que j'ai tenu des propos « convenus ». Tout d'abord, en tant que premier vice-président du groupe SRC, j'ai remplacé Jean-Marc Ayrault à la conférence des p...
Je connais un député nommé Jean Mallot qui m'a donné de grandes leçons dans la manière d'utiliser les rappels au règlement (Sourires) ; j'essaie d'être à la hauteur de son enseignement, monsieur le président.
Quoi qu'il en soit, chacun a bien compris qu'il s'agit du 19 septembre de cette année. Je conviens que le Conseil d'État a rendu ses conclusions quelques heures avant le début de l'examen du texte, et non après, mais cela ne change pas grand-chose. Quant à la désignation du rapporteur pour avis, M. le président de la commission des affaires éco...
Monsieur le président, monsieur le ministre, madame la rapporteure, monsieur le vice-président de la commission des lois, mes chers collègues, penser l'urbanité moderne, la définir, la corriger dans ses excès à Rueil-Malmaison ou ailleurs , voilà qui a occupé nombre de penseurs, de sociologues, d'urbanistes depuis le siècle des Lumières. Je...
Autrement dit, on est moins seul dans son hameau de montagne parce que l'entraide nous oblige davantage dans la nature rustique que dans la ville, où l'encombrement nous sature et finalement nous isole. Bien sûr, le Paris d'aujourd'hui n'a plus rien à voir avec le Paris du XVIIIe siècle. Mais il est frappant de constater que la promiscuité urb...
Le législateur a posé des règles de distance à respecter, mais a surtout posé le principe du respect de l'antériorité.
Il n'était en effet pas question que ceux qui se convertissaient à la campagne lui imposent de devenir un quartier résidentiel sans activité paysanne. Alors, ne faisons pas comme ceux qui ne supportent pas les rires des enfants à la sortie des écoles ou à l'heure de la récréation. Soyons capables d'être plus urbains ensemble, à la ville comme ...
Le ministre ne veut pas que l'on vote ! Nous sommes bâillonnés !
J'espérais, monsieur le ministre, que vous développeriez quelque peu votre argumentation car après le long débat que nous avons eu sur cette question avec M. le secrétaire d'État chargé de la consommation, j'avais bien compris que faute d'avoir de compétence en matière de santé publique, il n'était pas en situation d'apporter une réponse. Le b...
Eh oui !
Et maire de Rueil-Malmaison. Pour une urbanité réussie ?
C'était une question ! (Sourires.)
Ce n'était qu'un rejet sur la forme, pas sur le fond, monsieur le ministre !
Un autre faucheur volontaire !
On essaye de vous convaincre nous aussi ! (Sourires.)
Le décibel, ça nuit au commerce ! (Sourires.)