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Mais non !
Pas du tout !
Madame la présidente, madame la secrétaire d'État, monsieur le président de la commission spéciale, madame la rapporteure, j'ai souvent été amené, dans ma courte expérience parlementaire, à prendre des positions en fonction de mes convictions, de mes valeurs personnelles ou des valeurs collectives que je partage avec d'autres.
Je ne suis pas un spécialiste du sujet dont nous débattons aujourd'hui, mais je sais qu'il touche à l'intime conviction de chacun d'entre nous.
La problématique de la vie de l'enfant, de la filiation, de la possibilité de partager une vie transcende complètement l'ensemble des clivages et des schémas traditionnels de réflexion, de pensée, l'ensemble des problématiques auxquelles nous sommes confrontés au quotidien dans l'exercice de nos mandats. J'avais préparé une intervention struct...
je préfère vous livrer quelques réflexions que m'inspire ce texte. S'il est un sujet qu'il faut considérer non en tant qu'adulte mais d'abord, comme l'a indiqué tout à l'heure Mme la rapporteure, en partant de l'intérêt de l'enfant, c'est celui-ci. Nous avons eu, dans cet hémicycle, des débats sur la problématique du mariage homosexuel et de ...
Mon cher collègue, ne croyez-vous pas qu'il soit parfois préférable de donner libre cours à ses convictions plutôt que de lire un papier préparé par un collaborateur, qui peut vous conduire à prendre des positions bien éloignées de la hauteur à laquelle nous devrions situer nos débats ? (Applaudissements sur les bancs du groupe UMP.)
Vous devriez vous en réjouir !
Une nouvelle adhérente pour l'UMP !
Ah, oui, c'est dommage !
Amendez au lieu de vous abstenir !
M. le Président de la République !
C'est le président Mitterrand qui a dit cela ! C'est incroyable !
Ce sont des revenus par semaine, par mois ou par an ? Demandez donc à votre candidat !
Canal Plus, bien de première nécessité !
C'est le principe de l'exception : elle reste exceptionnelle.
La réalité est à l'opposé de ce que ce que nous explique M. Brottes. Aujourd'hui, lorsque, dans les plans locaux d'urbanisme, vous majorez le COS pour faire du logement social, pour implanter des commerces en rez-de-chaussée, vous n'avez pas besoin de consulter le public. On propose ici de passer d'un plafond de 20 à un plafond de 30
Vous ne connaissez pas le sujet ! Ne me contredisez pas ! (Exclamations sur les bancs du groupe SRC.)
Cher collègue, pour une fois, essayez d'écouter au lieu de rester obtus dans vos certitudes. Il arrive qu'on apprenne en écoutant les autres, même si, visiblement, cela ne vous arrive pas souvent. (Exclamations sur les bancs du groupe SRC.)
Vous avez raison, madame la présidente. Aujourd'hui, en cas de majoration pour la création de logements sociaux ou l'implantation de commerces en rez-de-chaussée, les dispositifs existant, notamment ceux de la loi SRU qui a modifié le code de l'urbanisme, ne prévoient aucune consultation. Ce texte, lui, nous propose une avancée. Notre collègue...