cosignée par Anne Grommerch, Arlette Grosskost, Bérengère Poletti, Cécile Dumoulin, Edwige Antier, Françoise Briand, Geneviève Colot, Henriette Martinez, Isabelle Vasseur, Josette Pons, Laure de La Raudière, Marguerite Lamour, Marianne Dubois, Marie-Christine Dalloz, Marie-Hélène Thoraval, Michèle Tabarot, Nicole Ameline, Pascale Gruny, Sophie Delong, Valérie Boyer, Véronique Besse, Alain Cousin, Alain Gest, Alain Suguenot, Alfred Almont, André Wojciechowski, Bernard Carayon, Bernard Debré, Bernard Depierre, Bernard Gérard, Bernard Perrut, Bruno Bourg-Broc, Christian Estrosi, Christian Ménard, Denis Jacquat, Didier Gonzales, Didier Julia, Didier Quentin, Dino Cinieri, Dominique Bussereau, Dominique Dord, Dominique Le Mèner, Dominique Souchet, Éric Diard, Éric Raoult, Éric Woerth, Étienne Mourrut, Francis Saint-Léger, François-Michel Gonnot, Georges Colombier, Gérard Voisin, Gilles d'Ettore, Guy Teissier, Jacques Alain Bénisti, Jacques Grosperrin, Jacques Myard, Jacques Remiller, Jean-Claude Flory, Jean-Claude Guibal, Jean-Claude Mathis, Jean-Luc Reitzer, Jean-Marc Nesme, Jean-Marc Roubaud, Jean-Marie Binetruy, Jean-Michel Couve, Jean-Michel Ferrand, Jean-Paul Anciaux, Jean-Philippe Maurer, Jean-Pierre Decool, Jean-Pierre Dupont, Jérôme Bignon, Laurent Hénart, Lionnel Luca, Loïc Bouvard, Louis Guédon, Lucien Degauchy, Marc Bernier, Marc Le Fur, Marc-Philippe Daubresse, Marcel Bonnot, Michel Bouvard, Michel Diefenbacher, Michel Grall, Michel Heinrich, Michel Lejeune, Michel Terrot, Michel Voisin, Nicolas Forissier, Olivier Dosne, Patrice Calméjane, Patrice Martin-Lalande, Patrice Verchère, Patrick Beaudouin, Paul Durieu, Philippe Armand Martin, Philippe Boënnec, Pierre Morel-A-L'Huissier, Pierre-Christophe Baguet, Raymond Lancelin, Renaud Muselier, Yanick Paternotte & Yves Jego
Mesdames, Messieurs, La présente proposition a pour objet d'initier aux gestes de premiers secours le plus grand nombre de Français et d'implanter sur l'ensemble du territoire des défibrillateurs automatisés externes dans la cohérence et la coordination.
Chaque année, entre 40 000 et 60 000 personnes meurent d'accidents domestiques à la maison, sur les routes ou au travail ou d'un arrêt cardiaque respiratoire extrahospitalier, faute d'avoir croisé au bon moment une personne qui aurait pu leur sauver la vie en leur pratiquant les gestes de premier secours.
C'est pendant le temps que mettent les secours à arriver que l'état d'une victime s'aggrave ou que le décès intervient.
C'est pendant ce laps de temps qu'il faut agir.
Grâce à des gestes simples qui s'apprennent, chacun d'entre nous peut un jour sauver une vie ou éviter à une personne de lourdes séquelles.
Selon l'ensemble des urgentistes, ne rien faire c'est de toute façon condamner la personne.
Aujourd'hui,...
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