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Si, à hauteur de 10 %.
Non, la responsabilité des ministres.
Monsieur le ministre, je n'ai pu m'empêcher de voir, dans la désinvolture avec laquelle vous avez traité les interventions de l'opposition (Protestations sur les bancs du groupe UMP.)
une espèce de déception, comme si, au fond, vous rêviez d'avoir, face à vous, un groupe socialiste correspondant à l'image caricaturale, empreinte d'angélisme et de laxisme, que vous vous en faites, et que vous auriez pu utiliser comme faire-valoir. Vous êtes, depuis le début de la discussion générale, déstabilisé par le fait que vous ne trouv...
elle a été à l'écoute de ses élus locaux et a tiré les leçons du passé. Il va falloir vous y habituer : il y a désormais, face à votre politique, une sécurité et une fermeté de gauche ! Aujourd'hui, le Gouvernement ne maîtrise plus la situation que nous connaissons sur le terrain. Lorsque vous avez pris vos responsabilités, je vous l'avais di...
vous avez tourné la page de ce discours de vérité. Nous le regrettons, car cela aurait pu donner lieu à une discussion beaucoup plus intéressante. J'en veux pour preuve que les critiques que nous avons formulées dans le cadre de la discussion générale s'expriment jusque dans les rangs de la majorité. J'en viens à l'amendement n° 136 rectifié....
Je maintiens le mot « trafiquer », étant précisé que les policiers et gendarmes sur le terrain ne sont en rien responsables : en réalité, ils sont victimes de la pression de la culture du chiffre. C'est vous-même qui êtes responsable, monsieur le ministre, lorsque vous convoquez un certain nombre de hauts responsables de la police nationale et ...
Très bien !
Bonne question !
Absolument !
Les contacts se font à l'occasion des flagrants délits !
Eh oui !
Très bien !
Eh oui !
Ce n'est qu'un chapitre en plus !
Qui paye ?
On espère quand même qu'ils sont déjà bien protégés !
Il n'y a pas besoin d'une nouvelle loi !
On avait déposé le même amendement !
Monsieur le président, monsieur le ministre, monsieur le rapporteur, chers collègues, en montant à cette tribune je ne peux m'empêcher de penser aux quatre-vingts professeurs du lycée polyvalent Adolphe-Chérioux de Vitry-sur-Seine qui ont exercé aujourd'hui encore leur droit de retrait pour dénoncer la situation de violence endémique que connaî...