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C'est la réalité !
Exactement !
Ce n'est pas vrai.
C'est en effet le cas !
Pas du tout, nous y reviendrons.
Surtout vous !
Très bien ! Moi aussi, d'ailleurs ! (Sourires.)
C'est un vrai réquisitoire !
Ce n'est pas sérieux de dire cela.
Tout à fait !
C'est vrai !
Nous abordons ce débat en deuxième lecture dans un contexte étonnant et singulier : on nous demande un vote conforme, c'est-à-dire un vote sans débat, un vote bloqué
alors même que le Gouvernement est divisé et que le ministre de l'intérieur vient de dénoncer point par point ce texte que nous présente le garde des sceaux, dans un courrier au Premier ministre rendu public par une dépêche de l'agence AISG à dix-neuf heures, en préambule à nos débats. Après avoir expliqué, le 31 mars dernier, que « la police ...
Et le droit au silence que vous avez supprimé !
Ceux que vous voulez sanctionner !
Ah bon !
Monsieur le président, monsieur le ministre, monsieur le rapporteur, mes chers collègues, ce que nous venons d'entendre est le summum de la tartufferie. (Protestations sur les bancs du groupe UMP. « Très bien ! » sur les bancs du groupe SRC.) Le Gouvernement nous explique que cette dix-septième loi sur la sécurité est la panacée, alors que l'...
Je veux citer ici ce qu'a dit le secrétaire régional du syndicat Synergie Officiers : « Nous déplorons cette chasse aux sorcières. À chaque fois qu'il se passe quelque chose en France, il faudrait trouver un responsable. Dans un monde parfait, avec des moyens pour tout le monde, le dossier Meilhon aurait pu être traité différemment. Mais après ...
que cette LOPPSI est devenue un véhicule législatif à tout faire qui comporte bon nombre de dispositions issues du discours dit « de Grenoble » du Président de la République, introduites par amendement du Gouvernement, je ne peux m'empêcher de relever le cri du coeur qui s'est élevé ces derniers jours des rangs de la majorité. C'est Christian...
qui a déclaré : « Il ne faut pas une loi tout de suite, sous le coup de l'émotion ». C'est Christian Jacob, président du groupe UMP, qui s'est dit opposé à toute « loi d'opportunité ». C'est le président de l'Assemblée nationale, Bernard Accoyer,