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Très bonne référence, monsieur Brard !
Très bien !
C'est un excellent argument !
Extraordinaire : on protège trop les honnêtes gens !
Le groupe UMP votera contre cette motion. Tout d'abord, je vous remercie, monsieur Blisko, d'avoir rappelé qu'il y avait deux chambres dans notre pays, l'une composée de personnes qui ne sont pas élues au suffrage direct et qui oublient un peu la réalité de la souffrance quotidienne de nos citoyens (Protestations sur les bancs du groupe SRC)
et l'autre composée de représentants élus directement. Je constate que, d'un côté, on a défendu les libertés abstraites et que nous, nous nous intéressons aux libertés concrètes, menacées par l'usurpation d'identité. Vous avez fait allusion à plusieurs reprises aux victimes, mais je suis tout de même un peu surpris. Vous parlez de la douleur ...
Ils n'en donnent pas la preuve !
Les défenseurs de la délinquance !
L'une plus que l'autre, quand même !
Montesquieu.
Madame la présidente, monsieur le ministre, mes chers collègues, nous arrivons aujourd'hui à la dernière étape de l'étude du texte consacré à la protection de l'identité. Je serais tenté de dire que le chemin qui nous a conduits a été beaucoup trop long en raison des obstacles que certains ont cru devoir mettre dans notre recherche d'une protec...
« la République rattrapera les délinquants » proclame son candidat, mais nous voyons, nous, que texte après texte le parti socialiste fait tout pour qu'on ne les rattrape pas ou qu'on les relâche au plus vite. C'est particulièrement net dans le cas présent puisque le groupe socialiste s'arc-boute sur la technique du lien faible qui ne permet pa...
Très bien !
Il y en a très peu. Ou, plutôt, il n'y en a pas du tout ! Il ne faut pas renverser les choses !
« Qui veut faire l'ange fait la bête » !
La population augmente, elle aussi !
Monsieur le président, monsieur le ministre, monsieur le rapporteur, mes chers collègues, « qu'on examine la cause de tous les relâchements, on verra qu'elle vient de l'impunité des crimes, non de leur modération ». La préoccupation à laquelle entend répondre le projet de loi que nous examinons est tout entière contenue dans cette réflexion de ...
Tout à l'heure, notre cher collègue Raimbourg évoquait l'hypothèse d'un numerus clausus. Si je le comprends bien, la réponse pénale devrait donc dépendre, non pas du nombre de délinquants, mais du nombre de places dans les prisons. Faut-il en déduire que le nombre des malades pouvant être soignés devrait dépendre du nombre de places à l'hôpital...
Monsieur le président, mes chers collègues, je ne voterai personnellement ni pour ni contre ce texte, car j'estime qu'il est malvenu. Il est malvenu pour deux raisons. La première vient d'être rappelée : c'est une atteinte à la liberté d'expression,
fondement même de notre République. Nous avons passé des semaines et des semaines au sein de la mission sur les lois mémorielles. La conclusion de ce travail, c'est qu'il ne fallait plus légiférer sur ces questions. Manifestement, nous y revenons !