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M. Rogemont, rapporteur des crédits de la culture, est trop fin connaisseur de ces questions pour ignorer les efforts que France Télévisions consacre à la création.
Vous les avez du reste soulignés, mais vous auriez également pu rappeler quelques chiffres que vous connaissez aussi bien que moi. En 2007, France Télévisions a consacré 352 millions d'euros à la production ; en 2008, 365 ; la somme atteindra 37 millions en 2009, 385 en 2010, et est estimée pour 2012, année du tout numérique, à 420 millions. (E...
Si l'on peut toujours espérer faire mieux, on ne saurait donc reprocher à France Télévisions, premier donneur d'ordres en matière de production audiovisuelle, de ne pas développer suffisamment la production et la création. Le but du projet de loi est aussi d'inciter France Télévisions à faire encore plus d'efforts dans ce sens. Nous sommes don...
qu'il n'avait pas de véritable fondement juridique,...
même si, sur le fond, nous nous retrouvons.
J'ose espérer qu'il s'agit du dernier des amendements incantatoires de cette série.
Ce qui ne nous empêchera pas de le traiter avec le sérieux qui lui sied. Même sans le secours du vice-ministre Rogard, Mme la ministre est pleinement consciente du fait que le service public doit être au service du public.
Je m'insurge contre votre affirmation selon laquelle nous n'aurions que le mot « compensation » à la bouche. Il ne s'agit que d'un outil au service d'une puissante ambition, qui reste notre véritable mot d'ordre mais peut-être ne l'avez-vous pas tout à fait saisi.
Vous ajoutez que le service public doit répondre aux attentes du public, à ses attentes, et même vous avez osé le mot à ses espérances. Nous pouvons nous retrouver sur cet objectif, mais il nous semble inutile de l'inscrire dans loi.
L'amendement n° 33 tend à préciser que les missions du service public « participent à l'éducation à l'environnement et à sa protection et au développement durable ». Contrairement, à nos collègues Mamère et Braouezec, nous avons tenu à intégrer cette dernière notion qui figure à l'article 7 du cahier des charges. Cela a donné lieu à un débat la...
Je me permets de rappeler que Laurent de Médicis,
...a écrit que ceux qui savaient allumer les étoiles étaient des faiseurs de lumière. Eh bien, j'espère que nous serons des faiseurs de lumière. (Applaudissements sur les bancs du groupe UMP.)
C'est vous qui avez la parole !
En ce moment, vous êtes gâté !
Madame la présidente, notre collègue Victorien Lurel, qui est cosignataire de cet amendement, pourrait le présenter.
Favorable. Elle a accepté, par ailleurs, le sous-amendement 438 rectifié de M. Robert, qui le complète opportunément, eu égard aux explications que vient de donner M. Lurel.
Je crois qu'il faut ici beaucoup de sagesse.
Il y a celle du Gouvernement, monsieur le président ! Ce sous-amendement a été accepté par la commission, qui n'y a pas été contrainte. Vous vous en remettez à la sagesse de l'Assemblée, madame la ministre. Je ne m'accrocherai pas, pour ma part, aux mots « ses outre-mers ».
Je vis, quant à moi, en Provence, où les controverses sur l'unicité ou la non-unicité de la langue provençale sont déjà vives. Si le sous-amendement choque jusqu'aux gens de l'outre-mer,
je crois que l'on peut parfaitement y renoncer et voter l'amendement tel quel. (Applaudissements sur les bancs du groupe SRC.) (Le sous-amendement n° 438 rectifié n'est pas adopté.) (L'amendement n° 87 rectifié est adopté.)