Interventions de Catherine Vautrin
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La parole est à M. le secrétaire d'État.
Nous revenons aux questions du groupe SRC. La parole est à Mme Frédérique Massat.
La parole est à M. le secrétaire d'État.
La parole est à M. Jean-Michel Villaumé.
La parole est à M. le secrétaire d'État.
Monsieur Rogemont, vous rêvez peut-être d'une carrière d'artiste, mais laissez le ministre s'exprimer !
La parole est à Mme Pascale Crozon.
Le débat est clos.
Prochaine séance, cet après-midi, à quinze heures : Débat sur l'emploi ; Débat sur l'éducation. La séance est levée. (La séance est levée à douze heures quarante-cinq.) Le Directeur du service du compte rendu de la séance de l'Assemblée nationale, Nicolas Véron
La séance est ouverte. (La séance est ouverte à vingt et une heures trente.)
L'ordre du jour appelle la suite de la discussion du projet de loi de finances rectificative pour 2012 (nos 4332, 4339 et 4338).
Cet après-midi, l'Assemblée a poursuivi l'examen des articles, s'arrêtant aux amendements identiques nos 531 à 540 à l'article 1er.
Sur l'article 1er, je suis saisie d'une série d'amendements identiques, nos 531 à 540. La parole est à M. Christian Eckert pour soutenir l'amendement n° 535.
La parole est à M. Gilles Carrez, rapporteur général de la commission des finances, de l'économie générale et du contrôle budgétaire, pour donner l'avis de la commission sur les amendements nos 531 à 540.
La parole est à Mme la ministre du budget, des comptes publics et de la réforme de l'État, porte-parole du Gouvernement, pour donner l'avis du Gouvernement sur cette série d'amendements.
Je suis saisie de plusieurs amendements identiques, nos 541 à 550. La parole est à M. Michel Issindou pour présenter l'amendement n° 549.
Je suis saisie d'une série d'amendements identiques, nos 554 à 563. La parole est à Mme Corinne Erhel pour soutenir l'amendement n° 555.
La parole est à M. Jean-Louis Gagnaire pour présenter l'amendement n° 557.
Madame de la Raudière, laissez M. Gagnaire poursuivre ; vous pourrez prendre la parole ensuite, si vous le souhaitez.
Allons, il faut conclure, monsieur Gagnaire.
