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Je pense toutefois que cet argument n'est pas suffisant pour déterminer la décision que nous devons prendre. Quant à moi, je pense que nous devons opter pour l'autorisation encadrée. J'ai été convaincue par le président de notre commission spéciale, qui a fait observer que, s'il y a bien transgression, ce n'est pas au stade de la recherche, mai...
Il est important que nous donnions un signal fort à nos chercheurs et à la recherche, que nous ayons un contrat clair, posant naturellement en principe le respect de la dignité de la personne humaine. Je participerai activement au débat pour défendre l'autorisation encadrée de la recherche. (Applaudissements sur les bancs du groupe SRC.)
Il faut aussi former les personnels !
Et alors ?
Et si la proposition n'est pas adoptée en CMP ?
Je m'avoue perplexe.
Non, il n'est pas question d'Arras, je n'en ferai pas une affaire personnelle, comme M. Le Déaut. Il me semble que ces personnes que l'on évoque conservent la possibilité de participer aux recherches. Ce qu'elles ne peuvent plus être, c'est professeur titulaire de chaire. Mais n'est-il pas logique que, pour être professeur titulaire de chaire ...
Je ne souhaite pas allonger inutilement les débats, mais pourquoi ne pas revenir à la dénomination « laboratoire de génétique », ce qui résoudrait tous les problèmes ? J'ai un peu l'impression qu'il s'agit de protéger des prés carrés
Autoriser les dons croisés d'organes entre personnes vivantes ne doit pas nous empêcher de continuer de réfléchir à la question des prélèvements sur les cadavres. Pour ma part, je demeure favorable à la disposition législative actuelle, à savoir le principe d'un registre des refus.
Nous avons tous observé que le grand public connaissait mal le sujet et qu'il fallait y remédier. Je m'interroge sur le pourcentage de familles 30 % de familles qui refusent le prélèvement d'organes. Pourquoi est-il si élevé ? En partie, au moins, parce qu'il est rare que le corps de la personne décédée arrive dans un lieu spécialisé, où i...
Nous aurions beaucoup moins de refus de la part des familles si nous les respections, et le respect passe par l'accueil dans des lieux dédiés, par des personnes compétentes.
Si ces conditions sont réunies, je puis vous assurer que nous aurons de bien meilleurs résultats, avec un pourcentage de refus bien inférieur à 30 %.
Des espaces dédiés !
Très juste !
Non, ce n'est pas la peine ! (Sourires.)
Il y avait d'autres choix à faire !
Le bouclier fiscal !
Ma question porte sur les dépassements d'honoraires abusifs, même si, pour beaucoup, ce sujet concerne la négociation conventionnelle. Nous constatons, en effet, que 40 % des médecins en secteur 2 c'est-à-dire des spécialistes pratiquent des dépassements d'honoraires et que, entre 1985 et 2005, ceux-ci sont passés de 23 % à 45 %. Or ces ch...
Néanmoins ne risque-t-il pas d'y avoir un effet pervers puisque, paradoxalement, ce sont ceux qui dépassent le moins qui bénéficient de ces prestations ? En outre, la négociation conventionnelle semble difficile à démarrer après les nouvelles élections professionnelles. Au-delà de la négociation, le Gouvernement a-t-il l'intention de prendre de...