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Vous avez déjà largement dépassé votre temps de parole.
La parole est à M. Olivier Carré.
La parole est à M. Daniel Fasquelle.
La parole est à Mme Annick Girardin.
La parole est à M. Martial Saddier.
La parole est à M. Louis Cosyns.
La discussion générale est close. La parole est à Mme Christine Lagarde, ministre de l'économie, de l'industrie et de l'emploi.
J'ai reçu de M. Jean-Claude Sandrier et des membres du groupe de la Gauche démocrate et républicaine une motion de renvoi en commission déposée en application de l'article 91, alinéa 7, du règlement. La parole est à M. Noël Mamère.
La parole est à M. Patrick Ollier, président de la commission des affaires économiques.
Dans les explications de vote sur la motion de renvoi en commission, la parole est à M. Olivier Dussopt, pour le groupe socialiste, radical, citoyen et divers gauche.
La parole est à M. Philippe Meunier, pour le groupe de l'Union pour un mouvement populaire.
La parole est à M. Daniel Paul, pour le groupe de la gauche démocrate et républicaine.
La parole est à M. Jean Dionis du Séjour, pour le groupe Nouveau Centre.
Je mets aux voix la motion de renvoi en commission. (La motion de renvoi en commission n'est pas adoptée.)
La suite de la discussion est renvoyée à la prochaine séance.
Prochaine séance, cet après-midi, à quinze heures : Questions au Gouvernement ; Suite de la discussion, après déclaration d'urgence, du projet de loi de modernisation de l'économie. La séance est levée. (La séance est levée, le mercredi 4 juin 2008, à zéro heure vingt.) Le Directeur du service du compte rendu intégral de l'Assemblée nation...
Je ne reviens pas sur la discussion relative au nombre de commissions, mais sur un argument qui me dérange terriblement : la nécessité de faire des économies, quand bien même il s'agit du débat démocratique. La qualité du débat politique exige des moyens ; cessons donc de défendre l'idée que la limitation du nombre des commissions permanentes o...
Je voudrais rappeler que les femmes représentent la moitié de l'humanité.
C'est avec une approche universaliste que nous avons modifié l'article 3 de la Constitution. Le Conseil constitutionnel, dans sa décision du 16 mars 2006, a jugé que la loi, présentée par Mme Ameline, à l'époque ministre déléguée aux droits des femmes, et adoptée par l'ensemble des députés, ne pouvait pas imposer que les femmes soient présentes...
La séance est ouverte. (La séance est ouverte à vingt et une heures trente.)