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a demandé à partir de quel nombre d'heures un salarié peut abandonner le RMI.
Tout à fait !
Très juste !
Bien sûr !
Très bien !
a pour sa part souhaité que cette réunion permette de faire apparaître les points de blocage à l'exercice d'un droit constitutionnel. En effet, on ne peut comprendre ce qui justifie qu'à l'embauche une femme cadre ne perçoive pas le même salaire qu'un homme. Il est tout à fait injustifiable que des questions de comportement empêchent l'arsenal ...
a souhaité savoir s'il s'agissait d'une difficulté spécifique à la France et si l'on parvenait mieux à mesurer les écarts dans d'autres pays d'Europe. On voit mal comment agir si l'on ne dispose pas d'un diagnostic partagé.
a souligné qu'aucun stéréotype ne saurait justifier les écarts salariaux : quand on commence à travailler au même moment et que l'on dispose de la même qualification, il n'est pas admissible que l'on ne soit pas payé pareil.
a suggéré l'organisation d'un grand débat national sur le partage des tâches. Pour s'être intéressée à l'articulation entre-temps professionnel et vie familiale, elle considère que le développement des services aux salariés dans les entreprises permettrait d'aller vers plus d'égalité mais aussi c'est un argument auquel le Medef ne devrait pas...
a elle aussi considéré qu'il conviendrait de développer la polyvalence car la spécialisation fait peser une contrainte très forte sur les horaires. Par ailleurs, d'autres métiers ont particulièrement recours au temps partiel, c'est le cas, sur la journée comme sur l'année, des transports scolaires.
a elle aussi observé que le moment était favorable à des progrès, en particulier parce que les femmes souhaitent travailler. Et si elles interrompent leur activité professionnelle, c'est souvent parce que les conditions leur sont plus défavorables quand elles travaillent que quand elles restent chez elles La France présente par ailleurs la pa...
Je demande la parole pour un rappel au règlement.
Monsieur le président, mon intervention se fonde sur l'article 58, alinéa l, du règlement. Madame la ministre de l'économie, des finances et de l'emploi, les salariés de SFR ont reçu, en arrivant au travail le 23 mai au matin, un mail leur annonçant l'externalisation au 1er août de leur centre d'appel « services clientèles ».
Monsieur le président, je profite de la présence dans l'hémicycle de M. le ministre du travail, des relations sociales et de la solidarité. En effet, j'ai interrogé tout à l'heure Mme la ministre de l'économie, des finances et de l'emploi à propos des salariés de SFR, mais elle ne m'a répondu que sur l'entreprise.
Cette annonce, déjà scandaleuse dans la forme, concernait trois sites en France : Poitiers, Toulouse et Lyon. Nous sommes le 1er août : les salariés de SFR vivent cette externalisation en devenant salariés de sous-traitants : Arvato à Poitiers et Infomobile, elle-même filiale de Teleperformance à Toulouse et à Lyon.
Je serai brève, monsieur le président. Cette externalisation entraîne de fait pour les salariés le passage de la convention collective nationale des télécommunications, aux dispositions favorables, à une convention collective qui ne leur assure plus que le SMIC, sans aucune prime, sans avantages, pas même avec une mutuelle, ce qui, avec la fra...
Le 23 mai, au matin, les salariés de chez SFR ont été informés par courriel qu'ils avaient été vendus à un sous-traitant. Le changement d'entreprise est intervenu aujourd'hui, 1er août, provoquant une forte émotion sur trois sites en France : Poitiers, Toulouse et Lyon. À Poitiers, du fait des méthodes utilisées, une salariée a tenté de se suic...
J'aimerais savoir ce que M. le ministre du travail entend dire aux salariés qui, changeant de convention collective, voient leur condition se dégrader très fortement. Que sont-ils en droit d'attendre, alors que leur métier est resté le même et que leur entreprise fait des bénéfices ? Je vous remercie de me répondre, monsieur le ministre. (Appla...
Absolument !
C'est l'amorce d'une délocalisation ! Étudiez le dossier !