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Oh non, encore !
Monsieur le ministre, ce dernier examen de votre budget de la présente législature nous donne une ultime occasion de débattre. Cela rend l'exercice un peu plus singulier qu'à l'accoutumée et je veux insister sur quelques éléments qui ajoutent à cette singularité et qui tiennent particulièrement au contexte. Je pense tout d'abord au contexte éc...
Non, ce ne sera pas fait ! En aval de tout cela, les coûts d'objectifs des équipements financés par ces économies devaient être évalués de façon suffisamment fine pour qu'il n'y ait pas de décalage avec leurs coûts réels. Je souhaite que vous nous disiez, monsieur le ministre, quel est le niveau exact des économies engendrées par cette réform...
Votre ministère a été taxé de 3,7 milliards d'euros pour la période 2009-2013 à l'occasion de la régulation budgétaire que votre prédécesseur nous a présentée en commission des finances. Le Gouvernement avait en effet décidé l'an dernier que votre ministère contribuerait très largement au plan de rigueur. Aux 3,7 milliards précédemment évoqués ...
Quand on regarde l'histoire de la Ve République, notamment depuis la crise du début des années 1970, on constate que les gouvernements de toutes sensibilités ont eu cette tentation et que tous l'ont fait, mais aussi qu'il y a eu des parlementaires de toutes tendances pour s'ériger contre cela. Pour nos armées, qui ont besoin de visibilité, il s...
En 2009 !
Comme nous avons déjà débattu de la question, je considère que cet amendement est défendu.
Il est défendu, monsieur le président. (L'amendement n° 456, repoussé par la commission et le Gouvernement, n'est pas adopté.)
Monsieur le président, monsieur le ministre, mes chers collègues, puisque nous abordons le dernier exercice budgétaire de la législature, vous me permettrez d'évoquer un sujet qui, dans cet hémicycle, a toujours été très consensuel : le budget de la défense nationale. Lors de la dernière convention de l'UMP, deux esprits extraordinairement nua...
stigmatisaient la position du parti socialiste en indiquant qu'il y avait une bonne majorité, qui sanctuarisait le budget de la défense, et une mauvaise opposition, qui s'apprêtait à le sacrifier. Je voudrais donc profiter de la discussion qui nous rassemble ce soir pour essayer d'examiner la façon dont votre gouvernement a traité le budget de...
Je cherche en vain où est l'économie pour l'État dans ce curieux montage qui comme beaucoup de PPP conduit l'État à financer une partie des profits des partenaires privés. Je voudrais que vous nous indiquiez comment vous analysez ce projet, attribué à un consortium d'entreprises sans vérification de sa conformité au plan local d'urbanisme. Com...
Je reprendrai certaines questions posées à l'instant par notre collègue Voisin, reprenant lui-même celles évoquées par François Cornut-Gentille au cours de la discussion générale, et qui n'ont toujours pas fait l'objet d'une réponse précise de la part du Gouvernement. On constate que le cadre général dans lequel s'inscrit le budget de la missi...
Monsieur le président, monsieur le Premier ministre, messieurs les ministres, mes chers collègues, avant d'aborder la question qui nous occupe cet après-midi, je voudrais, au nom du groupe socialiste, exprimer notre plus ferme condamnation des événements qui sont produits hier en Syrie : ils donnent une idée de la nature du régime de Bachar Al-...
Il est à craindre qu'à force de suivre systématiquement les plus puissants de ses alliés, notre pays finisse par perdre cette singularité qui l'avait si souvent conduit, dans les crises importantes, à tenir le discours que les peuples du monde avaient appris à aimer de lui. (Applaudissements sur plusieurs bancs du groupe SRC.) Sur les questio...
Il faut d'ailleurs reconnaître, par souci d'honnêteté intellectuelle, que la réforme des institutions à laquelle il a été procédé en 2008 a permis de progresser un peu sur le chemin d'une meilleure association du Parlement aux décisions regardant la politique étrangère et la défense puisque, en vertu de l'article 35 de la Constitution, nous som...
C'est la raison pour laquelle, monsieur le Premier ministre, nous voudrions que vous preniez l'engagement solennel devant la représentation nationale de revenir devant elle au mois de septembre, si jamais cette opération n'était pas terminée, afin de nous indiquer les résultats qu'elle aura permis d'obtenir et les inflexions qu'elle aura subies...
Elle sera pour nous l'occasion d'aller au fond du sujet qui nous occupe aujourd'hui. (Applaudissements sur plusieurs bancs du groupe SRC.) Pour ce qui concerne l'opération dans laquelle nous sommes engagés en Libye, avant d'autoriser ou non sa prorogation, il nous faut nous interroger sur le fait de savoir si elle a atteint ou non les objecti...
Entre le moment où l'urgence s'est exprimée et le moment où vous avez agi, il y a eu toute une période où la diplomatie française semblait encalminée. Il a fallu attendre l'arrivée au ministère des affaires étrangères d'Alain Juppé, qui a incontestablement remis le train sur les rails, sans empêcher toutefois le Président de la République de fa...
La fin de la singularité française devait les rassurer et permettre de donner à l'Europe de la défense une nouvelle dynamique. L'opération que nous avons engagée en Libye permet de mesurer le décalage béant entre les objectifs que vous vous étiez assignés et les résultats que vous avez obtenus. Certes, le Président de la République a reconnu l...
Nos huit bâtiments représentent à peu près 30 % des moyens maritimes. Nous fournissons également, monsieur le ministre de la défense, 30 % de l'aviation de combat et 20 % de l'aviation de soutien, et nous effectuons 30 % des frappes en Libye. Et nous le faisons alors que le ministère de la défense a été conduit à perdre 54 000 emplois du fait d...