314 interventions trouvées.
Cet amendement parle de lui-même : il propose de préciser que « l'étranger qui fait l'objet d'une obligation de quitter le territoire français peut solliciter le dispositif d'aide au retour financé par l'Office français de l'immigration et de l'intégration, sauf s'il a été placé en rétention ou si, au vu de son dossier, il a déjà bénéficié de s...
Exactement !
Cela nous avait échappé !
Arrêtez !
Voilà !
C'est même lamentable !
Absolument ! (L'amendement n° 286 n'est pas adopté.)
Merci, monsieur le président, de donner la parole à un Alsacien. En matière d'assimilation, d'intégration, l'Alsace a beaucoup donné ! Mes parents, nés respectivement en 1906 et en 1915, ont changé quatre fois de nationalité pour enfin avoir le droit d'être Français et de mourir Français. J'ai dû moi-même fournir, fin 1969, un certificat de réi...
Absolument pas !
Cela a été débattu en première lecture !
Je dois avouer que les bras m'en tombent ! (Exclamations sur les bancs des groupes SRC et GDR.) Je ne reviens pas sur mes origines, que j'évoquais tout à l'heure en aparté : mes parents, mes grands-parents venaient d'ailleurs. Vous venez, madame Mazetier, de nous insulter en disant que nous n'étions pas dignes d'être Français. (Exclamations su...
Vous avez dit que nous n'aimions pas la France et c'est exactement pareil ! Moi, l'Alsacien, je me sens profondément blessé. (Mêmes mouvements.)
Soyons sérieux ! Demander à un jeune de dix-huit ans, pour obtenir ce papier plastifié, de dire « Je désire être Français », je ne vois là aucun spectre de quoi que ce soit ! Arrêtez de nous insulter ! Arrêtez de vous considérer tous bons, et nous tous mauvais ! C'est indigne du Parlement ! (Applaudissements sur plusieurs bancs du groupe UMP.)
Non, c'est vous !
Absolument !
Bien sûr !
Très bien ! (L'amendement n° 16 est adopté.) (L'article 6, amendé, est adopté.)
En ce qui concerne les mineurs, sur lesquels nous reviendrons, j'ai une suggestion toute simple. Il suffit, pour éviter les risques évoqués par le rapporteur, que ce soit l'officier de police qui, en présence du jeune, appelle la famille. Cela éviterait toute dérive. À présent, il me semble qu'il est temps de voter sur ces amendements puisque ...
Monsieur Vanneste, ça suffit !