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Les amendements de Alain Néri pour ce dossier

59 interventions trouvées.

Monsieur le président, monsieur le secrétaire d'État, je vais essayer de « raison garder » (Sourires) et, comme je suis persuadé que vous avez toujours en mémoire mon intervention de première lecture, je ferai plus court que M. Folliot Au vu du découpage que vous avez effectué dans le Puy-de-Dôme, je reconnais, monsieur le secrétaire d'État, ...

Ayant plusieurs cordes à votre arc au niveau régional, vous êtes aussi un expert incontesté de la dentelle, sans doute grâce à votre proximité avec M. Wauquiez... Je vous avais dit, monsieur le secrétaire d'État, que nous aurions à nous revoir, car votre découpage est sectaire, arbitraire. C'est un déni de justice, quasiment un hold-up ! M. F...

Reconnaissez que notre travail est plus sérieux que celui que vous avez fait avec vos conseillers ! Il n'est jamais trop tard pour reconnaître ses erreurs : pour que cette deuxième lecture soit utile, prenez en compte cette proposition de redécoupage. Elle est sérieuse, elle tient compte des réalités géographiques et économiques, alors que vou...

alors que vous aviez assuré à notre collègue Geoffroy, en commission, qu'en aucun cas vous ne scinderiez un canton de moins de 40 000 habitants. Or, monsieur le secrétaire d'État, le canton de Billom est quatre fois moins peuplé : il compte 10 113 habitants. Je suis obligé de le dire : je vous prends en flagrant délit de mensonge. Cela m'embê...

Vous nous aviez dit, monsieur le secrétaire d'État, que le Puy-de-Dôme comptait moins de 625 000 habitants. Or, selon le dernier recensement de l'INSEE, il en compte 626 639. Je ne vais pas recommencer la leçon de vocabulaire que je vous avais dispensée la dernière fois et qui avait eu le don de vous irriter. Je vous propose, en revanche, une ...

quitte à faire pleurer l'autre. Rattrapez-vous donc, puisque vous en avez l'occasion. Ensuite, puisque vous prétendez appliquer la règle de la tranche, avec un quotient de 125 000 habitants, appliquez-la jusqu'au bout, en conservant les six circonscriptions. (« Bravo ! » sur les bancs du groupe SRC.) Monsieur le secrétaire d'État, vous avez ...

vous avez la chance de pouvoir passer l'oral de rattrapage. Ne la manquez pas ! Je propose d'ailleurs, pour ma part, que M. Pignard soit fait citoyen d'honneur non seulement du Puy-de-Dôme mais de la République, car c'est grâce à lui que ce texte fait l'objet d'une deuxième lecture. Grâce à lui, nous allons peut-être sauver la Moselle, le Puy...

Je vous en prie, faites un effort : montrez que « le temps de la réflexion et de la concertation » n'est pas, dans votre bouche, une vaine formule. Il n'y a pas de honte à reconnaître que l'on a commis une erreur. Au contraire, on se grandit en reconnaissant ses erreurs. Grandissez-vous donc, monsieur le secrétaire d'État, et tenez compte de no...

Monsieur le secrétaire d'État vient de nous reprocher de ne pas être arrivés au début de la séance. (« Eh oui ! » sur les bancs du groupe UMP.) Je rappelle donc M. Marleix l'ignore peut-être que, ce soir, le président de l'Assemblée a convié les députés (Exclamations sur les bancs du groupe UMP)

Le président Accoyer a convié les députés à un dîner républicain. Comme nous sommes républicains, nous avons participé à ce dîner au cours duquel le président a redéfini certaines règles de travail de l'Assemblée et je regrette que des députés ici présents ce soir n'y aient pas assisté ou bien qu'ils se soient faits sourds. Ils auraient compris...

Monsieur le secrétaire d'État, vous nous avez rappelé, à juste titre d'ailleurs, que vous vous êtes livré à cet exercice de redécoupage électoral sur les instructions du Conseil constitutionnel qui demandait qu'on modifie les limites des circonscriptions en tenant compte essentiellement de l'évolution démographique. Je suis étonné que l'on pui...

Ce texte était l'occasion d'engager une véritable concertation. Or, monsieur le secrétaire d'État, vous n'avez pas beaucoup de chance en ce moment, non plus que votre gouvernement : vous avez été retoqués par le Conseil constitutionnel, ce qui, je le comprends, vous donne un peu mauvais esprit vis-à-vis de cette institution.

Ensuite, en ce qui concerne le texte que nous sommes en train d'examiner, vous avez été de nouveau retoqué par le Sénat. Cela fait beaucoup en seulement quelques jours. On peut donc s'interroger sur le fait de savoir si ce pays est encore gouverné selon les lois de la République. (Exclamations sur les bancs du groupe UMP.)

Je suis également étonné par le fait que, alors que M. Le Roux, et vous l'avez très rapidement évoqué, vient de défendre avec brio et précision la motion de rejet préalable, vous affirmez ne pas vouloir répondre au prétexte que vous l'auriez déjà fait. C'est tout de même faramineux ! Vous avez répondu avant que l'on ne vous pose des questions !...

Il a échoué à l'écrit de son examen et nous lui proposons un oral de rattrapage. (Rires et exclamations sur les bancs du groupe UMP.) Mais à chaque fois qu'on lui tend une perche, il en fait une gaffe. Ressaisissez-vous donc, monsieur le secrétaire d'État ! Nous sommes là pour vous aider. (Exclamations sur les bancs du groupe UMP.) Offrez-nous ...

Sachez que nous allons vous demander de répondre à nos questions et, si vous ne voulez pas le faire dès à présent, vous y serez bien obligé dans la suite du débat. (Exclamations sur les bancs du groupe UMP.) M. Le Roux a posé des questions précises et vous aussi, monsieur le ministre chargé des relations avec le Parlement, vous devriez nous ap...

Pour toutes ces raisons, nous demandons à la représentation nationale de voter la motion présentée par notre collègue Bruno Le Roux. Il en va de la défense de la République et de la démocratie. (Applaudissements sur les bancs des groupes SRC et GDR.) (La motion de rejet préalable, mise aux voix, n'est pas adoptée.)

Vous n'avez rien compris à rien, comme d'habitude ! Vous étiez dans un état second, la buvette n'était pas loin !

Monsieur le secrétaire d'État, monsieur le rapporteur Le président de la commission n'est pas là et je le regrette, car il aurait été convenable, et utile, que M. Warsmann soit parmi nous ce soir. Monsieur Marleix, si vous avez pensé, pendant que je montais ces marches, que j'allais vous dire « Ave, Marleix, morituri te salutant », vous vous ...

De même, j'ai la faiblesse de croire que Vaclav Havel avait parfaitement raison quand il affirmait : « Il n'est de batailles perdues que celles que l'on ne livre pas. »