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Vous n'en parlez pas alors que c'est inscrit dans la loi et que cela permettrait un accompagnement individuel de chaque élève, notamment de ceux qui connaissent le plus de difficultés.
Mais évidemment, cet accompagnement individualisé demande des moyens et nécessite d'avoir plus d'enseignants que de classes. Enfin, il faut alléger la charge de travail des élèves. Vous avez décidé de supprimer les cours du samedi, sans concertation ni négociation. Cette réponse n'a rien à voir avec le problème réel qu'il faudra bien aborder :...
Eh bien voilà !
Je ne souhaite pas me lancer dans un débat avec M. Apparu, comme nous l'avons déjà fait, d'ailleurs, à propos de l'enseignement supérieur. La question est passionnante, mais je m'étonne qu'il prenne ce ton un peu polémique. J'ai pour ma part tâché d'avancer des arguments dans le cadre d'un débat qui, d'ailleurs, transcende les clivages traditio...
Le consensus continue ! Je partage la préoccupation que M. Lachaud a exprimée à la tribune puis à l'instant, et dont le rapporteur spécial s'est fait l'écho. La suppression brutale des emplois aidés, comme en son temps celle des emplois-jeunes, est pénalisante à la fois pour les jeunes qui en bénéficient et, peut-être même plus, pour les établi...
Je vous assure de mon soutien dans la lourde tâche qui vous attend si vous espérez susciter l'enthousiasme de Mme Lagarde en lui parlant de rétablir les emplois aidés (Rires), et je voterai l'amendement de M. Lachaud.
Nous voulions vous soutenir, monsieur le ministre !
Oui, monsieur le président.
L'amendement n° 268, qui a exactement le même objet que les amendements nos 8 et 9 de M. Goasguen, apporte une solution à peine différente : il tomberait si les deux amendements précédents étaient adoptés et nous nous y rallions. Les mots « ont vocation à exercer » sont en effet bien flous ! Je ne reprendrai pas la démonstration de M. Goasguen...
Pas du tout !
Eh bien oui, justement !
C'eût été plus facile !
Eh bien !
Quand ?
Le pire, c'est qu'il a l'air d'y croire ! (Sourires sur les bancs du groupe socialiste, radical, citoyen et divers gauche.)
Il parle de tout, sauf de ce qui est dans le texte !
C'était pas mal !
Ces chantiers-là, on les ouvre, mais on ne les mène jamais à bien !
Nous saurons vous le rappeler, madame la ministre !
Monsieur le président, madame la ministre, monsieur le rapporteur, à l'issue de cette discussion générale, je ressens un sentiment d'inachevé. En effet, dans toutes les interventions, y compris la vôtre, madame la ministre, il a été question des problèmes de fond que connaît l'université, que ce soit l'échec en premier cycle, la question de l'e...