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Les collaborateurs concernés sont soit des personnes embauchées en CDD dont le contrat va se terminer avant l'entrée en vigueur de la loi et ne sera pas renouvelé, soit des personnes dont le CDD a déjà expiré dans le cours de l'année 2008 et qui n'a pas été renouvelé du fait de l'annonce de la suppression, soit de collaborateurs diplômés qui n'...
Bien sûr !
Oui, monsieur le président.
Jaloux ! Je vous souhaite d'en faire autant !
Il l'est tout le temps !
Très juste !
Voilà une bonne question
Vous avez toujours besoin de plus de temps !
Monsieur le président, messieurs les ministres, monsieur le secrétaire d'État, mes chers collègues, il n'y a qu'une seule légitimité en démocratie : celle qui est issue du peuple et qui respecte la loi et le règlement, notamment celui de notre assemblée. (Applaudissements sur les bancs du groupe UMP. Protestations sur de nombreux bancs des gr...
Ce projet de loi est un rendez-vous de responsabilité et d'équité.
Oser dire, mes chers collègues de l'opposition, que nous n'avons pas travaillé, alors que nous avons tous contribué à l'élaboration de l'ensemble des rapports portant sur ce texte, que nous avons passé vingt-cinq heures en commission, soixante-huit heures en séance et procédé à plus de cinquante-quatre auditions avec le président Méhaignerie, c...
La position défendue par Martine Aubry, consistant à maintenir l'âge de départ à soixante ans, mais avec un système de décote, n'est pas acceptable parce qu'elle revient à accepter la baisse des pensions des retraités ! (Applaudissements sur les bancs des groupes UMP et NC.) Pour notre part, nous proposons une pérennisation et non pas une paup...
En ce qui concerne les polypensionnés, le projet de loi constitue une avancée considérable, en proposant de ramener de quinze à deux ans, la durée minimale de travail dans le public, nécessaire pour être prise en compte dans le régime des fonctionnaires. Là encore, comment comprendre les réticences de l'opposition ? Le projet de réforme propos...
et que vous n'avez pas approuvé, sera maintenu et étendu aux salariés qui ont commencé à travailler avant dix-huit ans. Le dispositif concernera 90 000 personnes en 2015, excusez du peu ! En outre, avec ce texte, nous nous donnons pour la première fois c'est historique ! les moyens d'une réelle politique de reconnaissance de la pénibilité.
Les salariés, justifiant d'un taux d'incapacité permanente compris entre 10 et 20 % se verront reconnaître un droit nouveau et pourront partir à la retraite dès soixante ans à taux plein. C'est une avancée majeure
qui permettra à 30 000 personnes de partir plus tôt. Ces 30 000 ajoutées aux 90 000 cela fait 120 000 personnes, excusez du peu ! (Rires et exclamations sur les bancs des groupes SRC et GDR.) En parallèle, nous encourageons une approche préventive de la pénibilité. Cela suppose une plus grande implication de la médecine du travail
une meilleure approche des parcours professionnels et individuels. La question de l'inégalité salariale entre les hommes et les femmes qui pèse encore trop souvent sur l'évolution professionnelle de ces dernières et par conséquent sur leur niveau de pension trouve également des réponses dans ce texte.
Mes chers collègues, face à une gauche fragmentée, désunie, désemparée (Rires et exclamations sur les bancs des groupes SRC et GDR), la majorité présidentielle, avec le Nouveau Centre, autour de Jean-François Copé, a pris ses responsabilités et elle a marqué son unité sans faille. (Mêmes mouvements.) Mes chers collègues, je tiens à vous remerc...
Mais si !
Il n'y avait rien dans le programme socialiste !