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Interventions en hémicycle de Richard Mallié


1461 interventions trouvées.

Je suis en train de vous dire qu'il n'y a pas d'usage de consommation exceptionnel à Lyon. Tandis que vous me dites qu'il y en a dans le vieux Lyon. Si tant est qu'il y ait un usage de consommation exceptionnel dans le vieux Lyon, ce que je ne crois pas,

ni dans celui des zones touristiques ouvrir toute la journée puisqu'ils ne sont pas concernés par ce texte. Déjà aujourd'hui, ils n'ouvrent pas le dimanche matin parce que cela ne les intéresse pas. Il en sera de même demain. Avis défavorable à l'ensemble de ces amendements.

Vous nous dites que c'est important. Mes chers collègues, j'essaie de vous répondre. Je ne vous ai pas interrompus. Si vous ne voulez pas que je vous réponde, je me tais. Avis défavorable ! (Applaudissements sur les bancs du groupe UMP.)

Le débat est en train de devenir surréaliste. (Exclamations sur les bancs des groupes SRC et GDR.) On répète la même chose quatre-vingt-trois fois !

Bien sûr que si, l'EPCI aura le dernier mot et le maire n'aura plus voix au chapitre. Mon cher collègue, je vous demande donc de retirer votre amendement ; à défaut, je serais contraint d'émettre un avis défavorable.

Je vous rappelle que vous êtes tenus par le temps. Il vous restait au début de la séance quatre heures et trente-six minutes, sur les vingt heures qui vous ont été accordées.

C'est-à-dire qu'il vous reste à peine un peu plus de 20 % de votre temps, alors que vous n'avez présenté que la moitié de vos amendements. Je peux répéter les choses autant de fois que vous le demanderez pas de problème ! mais il ne faudra pas venir vous plaindre de ne pouvoir présenter des amendements peut-être intéressants, qui posent de ...

Je ne souffre absolument pas. Je suis prêt à revenir lundi s'il le faut et le ministre aussi pour achever la discussion de ce texte.

Nous n'avons aucun souci de ce côté-là, et je remercie nos amis de l'UMP de venir aussi nombreux nous soutenir. La question des Champs-Élysées a été posée. Je ne suis pas très familier de Paris, mais il y a quelques coins que je connais ; les Champs-Élysées ne se trouvent pas très loin, et il m'arrive de m'y rendre à pied. Les commerces des Ch...

Ce n'est pas nous qui plaçons le débat à ce niveau ! Nous souhaitons simplement vous dire que les choses peuvent très bien se passer et qu'il faut arrêter d'envenimer le débat en racontant n'importe quoi. Depuis mardi matin, vous posez toujours les mêmes questions.

Nous avons répondu maintes et maintes fois. Je souhaite que nous passions enfin à la suite du texte.

Défavorable. Je ne pense pas que l'on puisse traiter les commerçants de délinquants

ou d'illégaux. Souvent, ces commerces étaient ouverts grâce à un arrêté préfectoral. Ils ouvraient donc en toute bonne foi, et le préfet était également de bonne foi lorsqu'il prenait ces arrêtés. Peut-être ces commerçants sont-ils aujourd'hui dans l'illégalité, mais ils ne l'étaient pas alors. Cela étant dit, si vous souhaitez que des millie...

des salariés qui sont volontaires et veulent continuer à travailler le dimanche, des salariés qui sont mieux payés ce jour-là, dites-le, et arrêtez de nous accuser systématiquement de vouloir blanchir des illégaux ! Vous avez évoqué la visite d'un ministre du travail à Thiais-Village. Je m'y suis moi aussi rendu comme dans beaucoup d'autres...

Ils ajoutaient que si, demain, on leur interdisait le travail dominical, ils ne sauraient pas comment s'en sortir.

Laissez-moi finir. Tout à l'heure vous ne parliez que de Paris, à présent il n'y a plus que Toulouse qui compte. Je veux bien que vous évoquiez le cas de Paris dans le cadre des périmètres d'usage de consommation exceptionnelle, mais Toulouse n'est pas une unité urbaine de plus d'un million d'habitants.

Un étudiant, qui travaillait dans un magasin de bricolage dont l'enseigne est bien connue, me disait : « Monsieur le député, je travaille en fin de semaine, neuf heures le samedi et neuf heures le dimanche. Je suis payé pour vingt-sept heures de travail, ce qui représente plus des trois quarts d'un salaire à temps complet. En ne me permettant p...