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Bien qu'encore très différents les uns des autres, les pays de la zone euro ont en commun une monnaie et une banque centrale, laquelle a, du reste, excellemment réagi à la crise,
en concertation avec le Président de l'Union européenne.
Il suffit de voir ce qui s'est passé en Islande, qui bénéficie maintenant de l'intervention du FMI, ou de lire les déclarations des autorités danoises et suédoises, pour mesurer le handicap que constitue la non-appartenance à l'Union ou à la zone euro.
Les derniers événements, qu'il s'agisse de la Géorgie ou de la crise financière, prouvent que, lorsqu'une volonté politique s'exprime au sommet, l'Europe politique existe et est capable d'infléchir le cours de l'histoire. Après la préparation avec nos partenaires européens, notamment allemands, de la réunion du 7 novembre prochain, l'Union devr...
C'est sûr !
Vous vouliez que l'euro baisse !
Pas seulement eux !
Monsieur le secrétaire d'Etat aux affaires européennes, cette audition sous forme de visioconférence est, pour nous, une grande première. Elle est réalisée en commun avec la Commission des affaires européennes du Sénat, dont je vous prie de bien vouloir excuser l'absence du président Hubert Haenel, actuellement en Turquie ; il a demandé à M. Ja...
S'il y a une issue pour le traité de Lisbonne, c'est que la République tchèque et le Président polonais le ratifient avant l'Irlande. Avez-vous eu l'impression que l'opinion irlandaise était sensible au fait que, face à la crise, l'Europe a été extrêmement utile notamment pour l'Irlande, qui était particulièrement exposée ? Il suffit de regar...
Monsieur le secrétaire d'Etat, je vous remercie de vous être prêté à cette audition d'un nouveau genre.
Je suis heureux d'accueillir à nouveau M. Xavier Bertrand, ministre du travail, des relations sociales, de la famille et de la solidarité, pour évoquer l'avancement des dossiers sociaux sous la présidence française de l'Union européenne. Cette présidence est pour beaucoup dans la réponse coordonnée et massive à la crise financière, que le plan ...
Il est vrai que la France aura donné une impulsion importante à l'Europe sociale. Existe-t-il un accord avec les Tchèques et les Suédois pour poursuivre cet effort au cours des présidences suivantes ? Le ministre. Nous sommes dans la logique du trio des présidences. J'ai rencontré à Luxembourg le ministre tchèque du travail et des affaires soc...
Monsieur le ministre, je vous remercie d'être revenu devant nous. J'espère que nous aurons le plaisir de faire le point avec vous à la fin de la présidence française sur ces sujets sociaux difficiles, tant ils exigent de discussions. Mais l'important est d'impulser les actions. Sur le rapport du Président Pierre Lequiller, la Commission a exam...
Exact !
Vous avez pourtant failli en sortir !
J'ai également eu l'occasion de les rencontrer et ils ont beaucoup insisté sur ce point.
Madame et messieurs les ministres, l'Europe a progressé à pas de géant au cours des derniers mois et des derniers jours.
Elle a su répondre aux formidables défis imprévus auxquels elle a été confrontée, sous l'impulsion du président de l'Union, Nicolas Sarkozy (Exclamations sur les bancs du groupe SRC).
Avec la crise géorgienne et la crise financière, le besoin d'Europe n'avait pas été aussi criant depuis bien longtemps. C'est bien l'Europe qui nous protège. S'agissant de la crise financière, ne nous leurrons pas : sans l'euro, nous subirions en plus une crise de change qui plongerait nos systèmes financiers nationaux dans l'abîme.
Sans la gestion avisée de la Banque centrale européenne, coordonnée avec la présidence de l'Union, la panique financière n'aurait pas butté contre notre première digue de survie. Surtout, sans l'émergence spectaculaire, dimanche dernier à Paris, d'un gouvernement économique de l'Europe que vous appeliez de vos voeux, monsieur Moscovici , nos...