Découvrez vos députés de la 14ème législature !

Photo issue du site de l'Assemblée nationale ou de Wikipedia

Interventions en hémicycle de Philippe Boënnec


354 interventions trouvées.

Je vais retirer cet amendement, mais je souhaite que les schémas d'organisation sanitaire et les décrets qui s'y rapporteront tiennent bien compte de l'aide médicale d'urgence et de la permanence des soins. (L'amendement n° 33 rectifié est retiré.)

Un peu de respect pour ceux qui ne sont pas de votre avis, monsieur Bapt ! Vous n'êtes pas un démocrate !

La permanence des soins suscite l'inquiétude de la population, car elle donne un sentiment de désorganisation et d'un manque de visibilité. Pourtant, paradoxalement en 2006, elle a coûté 600 millions d'euros, ce qui n'est pas rien, et qu'en France, le taux de morbidité et le taux de mortalité sont satisfaisants. On peut donc en conclure que la ...

L'amendement n° 27 propose d'insérer, après l'alinéa 3, l'alinéa suivant : « Sur la base du volontariat, cette mission peut également être assurée, dans les conditions définies par décret, par les médecins spécialistes, les médecins retraités et les internes en médecine. » Ainsi que cela a été souligné, il n'est pas simple, pour les médecins g...

J'ai en rencontré beaucoup qui ont arrêté leur activité, qu'ils jugeaient trop prenante, mais qui n'ont pas renoncé à leur mission. Ils pourraient intervenir sur la base du volontariat. On pourrait enfin songer aux internes en médecine, non pour l'aide médicale d'urgence, mais pour la permanence des soins. Pour peu que les textes soient modifi...

Le service public est un droit. Toute l'intelligence de ce projet de loi est de préciser le rôle du directeur de l'ARS dans un domaine dans lequel Mme la ministre a rappelé que nous avions une obligation collective.

Grâce au dialogue social, nous devons mettre en place un schéma dans le cadre ambulatoire. S'il s'avère que l'obligation collective n'est pas assurée, il faudra intervenir, en prévoyant par exemple des réquisitions.

Cela étant, dans un premier temps, faisons confiance au conventionnement et au dialogue social. Je m'étonne d'ailleurs que des socialistes n'en fassent pas plus de cas. (Protestations sur les bancs des groupes SRC et GDR.) Les médecins sont des gens responsables.

Cette réponse me satisfait. En fait, cet amendement visait à poursuivre la réflexion.

Comme l'a indiqué le rapporteur, il faut être positif dans ce domaine et retenir tout élément de réflexion permettant d'aboutir à une meilleure permanence des soins, afin de réduire ces « zones blanches », qui sont à mes yeux des zones noires. Chacun de nous doit apporter ses idées pour contribuer au service public. (L'amendement n° 27 est ret...