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Interventions en hémicycle de Patrick Roy


3447 interventions trouvées.

Mais non, monsieur le ministre, ce n'est pas la baisse des pensions, et vous le savez bien !

Monsieur le président, monsieur le ministre, monsieur le secrétaire d'État, mes chers collègues, plusieurs de mes collègues socialistes ou de gauche ont rappelé que le candidat Sarkozy s'était engagé à ne pas réformer les retraites. Ces promesses ayant été écrites, publiées, entendues, la majorité, placée devant ces contradictions, n'a eu qu'un...

La crise est la conséquence des choix économiques de votre camp. Rappelons-nous les déclarations du candidat Sarkozy qui, vantant certains mécanismes économiques, considérait que la France devait s'aligner sur les États-Unis. Patatras ! Tout s'est effondré. À l'évidence, la crise, c'est vous. L'article 1er crée donc un comité de pilotage : un ...

Vous n'ignorez pas qu'il y a, entre les deux notions, une différence essentielle. Mais, quand on est intelligent, qu'on connaît la différence et qu'on dit autre chose, c'est qu'on est un menteur (Exclamations sur les bancs du groupe UMP), ce qui est beaucoup moins flatteur. Ce comité n'est pas qualifié pour traiter du recul de deux ans des deu...

Quelques mots, notamment pour répondre à notre collègueMarie-Christine Dalloz, qui, fidèle aux thèses que défend sa majorité, a tenu des propos qui ne sont pas honnêtes. Elle nous dit qu'elle explique à ses électeurs qu'il manque des sous et qu'il faut bien combler le trou. Personne, ni dans cet hémicycle ni dans le pays sauf des irresponsab...

Deuxième solution : fragmenter nettement les cotisations. Cela ne déclenche pas non plus l'enthousiasme des foules. Vous vendez donc sur un plateau, comme une évidence, une troisième solution : jouer sur la durée de cotisation ou reculer les deux bornes d'âge de départ à la retraite. C'est ce dernier choix qu'a fait votre majorité. Certes, ce...

Quand on rend 30 millions à Mme Bettencourt, vous comprendrez que cela heurte une immense majorité de Français. (Exclamations sur de nombreux bancs du groupe UMP.) Madame Dalloz, vous avez évoqué l'interview du Premier ministre. Un journaliste dont je crois savoir qu'il n'est pas un dangereux révolutionnaire lui a demandé si, eu égard à la ...

Monsieur le président, j'ai le plus grand respect, vous le savez, de la règle républicaine dans cet hémicycle.

À voir M. le ministre ainsi effondré sur son siège et à court d'arguments pour répondre aux deux précédents orateurs du groupe socialiste, on a le sentiment, sur cette question comme sur d'autres, que c'est vraiment la panique