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La proposition de loi dont nous sommes saisis me paraît injuste et déséquilibrée. Elle pose en outre plusieurs problèmes. D'une manière générale, j'ai du mal à croire que les Français dépenseront le dimanche ce qu'ils n'ont pas pu dépenser la semaine. Par ailleurs, l'argument consistant à dire que ce texte n'imposera pas de contraintes nouvel...
J'ai du mal à comprendre. Tout le monde semble d'accord pour rejeter l'idée d'un guichet unique, mais vous ergotez sur ces amendements. Je ne veux pas croire que vous entreteniez des arrière-pensées.
Les conditions d'examen de ce budget, sur le seul plan de la forme, sont critiquables : les orateurs sont pressés d'achever leurs interventions et l'expression en est entravée, à l'heure où le Parlement est censé être revalorisé. L'argument selon lequel ces mêmes sujets ont été évoqués l'année dernière à la même époque ne tient pas.
Je souhaiterais faire trois remarques. D'abord, à l'évidence, ce budget en diminution est décevant et creux. Ensuite, s'agissant de la revalorisation de la retraite du combattant, une revalorisation à hauteur de trois points constitue une bonne solution. Si elle ne doit être que de deux points, alors elle doit impérativement entrer en vigueur...
Le rapporteur pour avis dit toujours non. C'est un peu étonnant au regard des réelles situations de misère que l'on peut constater aujourd'hui en France.
Cette réponse de nature technique est pour le moins inopportune au regard des enjeux en présence.
Je ne suis pas favorable à une profusion de commémorations, mais je pense que le mérite essentiel de ces journées est de favoriser la connaissance de l'histoire par les jeunes générations, et en l'espèce, l'histoire de la Résistance. La date du 27 mai présente en outre l'avantage de se situer plus d'un mois avant la fin de l'année scolaire ; ce...
Ce n'est pas parce que les salariés sont représentés que les usagers le sont !
Le fait par exemple que les victimes de l'amiante soient soumises aux franchises est pourtant intolérable.
L'attitude du rapporteur est contradictoire : certains de nos amendements ont été justement rejetés parce qu'il jugeait prématuré de les adopter avant l'examen de la loi « Hôpital, patients, santé, territoires ».
Si ces amendements étaient satisfaits, ça se saurait ! Assumez vos positions : s'ils ne sont pas votés, les victimes ne seront pas indemnisées comme elles le devraient.
Donc on ne donne aucune réponse concrète à un constat de profonde injustice. Je rappelle que le drame de l'amiante n'était pas un accident imprévisible.
Le Gouvernement ne veut pas d'un procès pénal pour l'amiante. Tout est fait pour bloquer l'instruction et pour refuser aux juges les moyens qu'ils réclament. Cent mille personnes ont été tuées volontairement en France il ne s'agit pas d'un accident ! et vous nous proposez un article grâce auquel plus personne n'est responsable. C'est ignoble.
Que le système soit compliqué, soit, mais cela n'explique pas qu'on le supprime ! On peut trouver plusieurs pistes intéressantes pour augmenter le rendement de la contribution dans le rapport d'avril 2008 du groupe de travail dirigé par M. Le Garrec. Sa suppression ne fera qu'encourager les comportements qui ont entraîné ce drame.
Et comme d'habitude, on abordera le problème en un quart d'heure à la fin de la discussion, lorsque tout le monde sera exténué. C'est chaque année pareil.
Le pouvoir d'achat des retraités ne cesse de baisser. Au regard de la situation dramatique de ceux qui ont des petites pensions, les explications techniques sont insupportables.
L'argument de la pression sur les négociations est d'une totale hypocrisie. Il ne sert qu'à masquer l'absence de perspective sociale.
On entend la majorité dire dans les médias qu'elle va tenir compte de la crise et remédier aux injustices, mais chaque fois que nous présentons un amendement sur les parachutes dorés ou les stock-options, elle le refuse. Ce double langage est insupportable.
Si l'on compare ce qui se dit en commission et ce qui se dit dans les médias, on ne voit que trois possibilités : soit Nicolas Sarkozy est un menteur ; soit il est sincère, mais il ne sait pas ce que font ses propres troupes à l'Assemblée ; soit la droite tient un double langage. Les arguments techniques de M. Apparu viennent d'être réfutés pa...
Vous tenez en effet un double langage en affirmant, d'une part, ne pas vouloir augmenter les salaires et en voulant, d'autre part, supprimer cet article au nom de la valorisation du salaire direct.