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La parole est à M. Jean-Pierre Brard.
On ne peut pas se fonder sur la consultation des fichiers pour refuser !
Et non au monde de Montreuil.
Montreuil n'a pas lu le texte !
Il est plus que satisfait.
Nous sommes loin du crédit !
Vous les contournez !
Oui !
C'est du bon sens !
Quel est l'avis du Gouvernement ?
Puisque c'est ainsi, monsieur Brottes, je m'opposerai à l'examen de vos amendements en séance !
Monsieur Brard, n'interrompez pas Mme Rosso-Debord ! (Sourires.)
Au risque de décevoir mon collègue et ami François Brottes, je ne soutiendrai pas sa position. Monsieur Brard, je souhaite redonner à ce débat sa juste place. On parle d'ostracisme ; mais de quoi parlons-nous ? Je vais finir par tomber d'accord avec M. Tardy, et par penser que l'on aurait dû supprimer ce comité !
Nous parlons simplement d'un groupe de travail composé de deux personnes le Gouverneur de la Banque de France et le directeur général du Trésor et de la politique économique , auxquelles le Sénat a souhaité, dans sa sagesse, ajouter deux parlementaires issus l'un du Sénat, l'autre de l'Assemblée, ce qui fait au total quatre personnes. Vous ...
Merci de l'entendre, monsieur Brard !
Quel est l'avis du Gouvernement ?
C'est un peu cela, monsieur Brard ! (Il est procédé au scrutin.)
Très bien !
Très bien !
Puisqu'une suspension de séance vient d'être demandée, le moment me paraît bien choisi pour faire le point sur la suite de nos travaux. Avec les responsables des groupes, Mme la ministre, le rapporteur et les rapporteurs pour avis, et si vous en aviez été d'accord, madame la présidente, nous avions caressé l'espoir de finir cette nuit en séance...