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Mais sans doute est-ce que vous visez Ce que vous proposez est assez hypocrite : on donne le sentiment de faire un cadeau supplémentaire, on laisse à penser qu'il y aura une ouverture de plus, mais ce n'est pas vrai. Je vois certains d'entre vous sourire sur les bancs de la majorité. Je vous signale que nous parlons d'hommes et de femmes qui ...
Ne vous racontez pas d'histoires, monsieur Raoult ! Il est évident que vous n'y croyez pas !
Mais si ! Je me réjouis que vous me repreniez sur cette question, monsieur Myard ! Cela va me permettre d'enfoncer à nouveau le clou je l'ai déjà enfoncé à deux ou trois reprises. On fait comme si on ne parlait que de personnes qui sont encore dans leur pays ou qui arrivent en ce moment même en France. Mais ce n'est pas vrai ! Ces disposition...
Exactement !
Toutes les statistiques montrent que nous en aurons encore plus besoin dans cinq ou dix ans !
Les deux exemples mentionnés par notre collègue montrent bien à quelle rigidité nous nous heurtons de la part de l'administration, et vous-mêmes, chers collègues de la majorité, avez sans doute des dizaines de cas similaires à traiter. On ne devrait pas nourrir de suspicion a priori.
Ce texte considère qu'on est a priori sinon coupable, du moins suspect.
Cela ne doit pas être supérieur à 1.5 fois la moyenne !
À quoi vise le présent alinéa sinon à rendre encore plus précaire la situation d'un étranger qui a déjà dû réaliser un vrai parcours du combattant et qui, pour une raison ou pour une autre, ne dispose d'une carte valable qu'un an ? Danièle Hoffman-Rispal a eu raison de rappeler qu'un très grand nombre de ceux dont nous parlons sont devenus des...
J'imagine que vous ne cherchez pas à opposer les grands-mères aux petits maires ! (Sourires.)
Non, ce n'est pas grotesque puisque c'est vrai, et vous le savez très bien, monsieur le ministre. Vous-même avez d'ailleurs dénoncé cette situation je ne reprendrai pas les propos de M. Ayrault dans une autre vie, et à juste titre, comme nous le faisons, nous, aujourd'hui. Les lois Pasqua et les lois Debré ont multiplié les sans-papiers, à ...
L'Europe aussi !
Pas du tout, nous procédons bien à des baptêmes républicains dans les mairies !
« No comment » n'est pas français, monsieur Mariani. Vous n'auriez pas votre diplôme ! (Sourires.)
Je voudrais insister, après Étienne Pinte, sur les conditions d'accueil des étrangers dans les préfectures d'Île-de-France. À Bobigny, en particulier, c'est un véritable scandale. Ce n'est ni la faute du préfet, ni celle des fonctionnaires, qui font de leur mieux pour répondre à cette demande : le fait est que les moyens sont loin d'être suffis...
Je le pense aussi.
Ce n'est pas gagné ! (Sourires.)
Je suis tout à fait d'accord avec vous.
C'est même souvent plus !