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Et alors ?
À regret, c'est sûr !
Maintenant oui ! Mais à son arrivée, ce n'était pas le cas !
La législation française fixant à dix-huit ans l'âge de la majorité civile, le traitement particulier fait aux jeunes étrangers de plus de seize ans pose problème. C'est pourquoi il faut supprimer les mots : « de plus de seize ans ».
Vous avez peut-être raison. (Sourires.) Je le retire !
Vous ne croyez pas un seul instant ce que vous dites ! Des personnes se présenteraient au consulat et passeraient immédiatement le test ! Ce n'est pas sérieux !
Personne ne peut croire cela !
Puissent tous les salariés de la « Propreté de Paris » bénéficier des mêmes dérogations !
Et dans le 93 ?
Je voudrais demander à M. Maurer de nous rappeler le refrain et le premier couplet de la Marseillaise.
J'ai le sentiment que vous nous feriez chanter la Marseillaise à l'envers, avec d'abord le refrain, puis le premier couplet
Parlez-en à SFR !
Madame la ministre, nous étions très réservés sur ce texte lors de sa présentation et, au terme de ce débat, nous le sommes toujours. Certes, le texte que vous nous proposez aujourd'hui est « moins pire » que la version initiale présentée en conseil des ministres. Vous avez su écouter nos critiques et retenir quelques-uns de nos amendements. M...
Nous, au moins, nous serons payés ! (Sourires.)
Absolument pas !
Vous venez de le dire à l'instant, madame la ministre, notre ordre du jour est chargé. Je trouve dangereux pour la démocratie et le respect des droits fondamentaux que le Gouvernement impose, en tout début de législature, des textes aussi importants pour l'ensemble de la société française que ceux portant sur la récidive, l'autonomie des univer...
Il est temps que le Gouvernement cesse les passages en force. Je ne suis pas certain que les électeurs aient été vraiment éclairés ! (Exclamations sur les bancs du groupe de l'Union pour un mouvement populaire.)
J'en viens au texte. Ce projet de loi durcit la répression en matière pénale pour les délinquants récidivistes en instaurant des peines dites planchers. Ce durcissement se veut dissuasif, reposant sur le présupposé qu'un délinquant, avisé de la sévérité des peines qu'il encourt en cas de récidive, renoncerait à commettre une nouvelle infraction...
Je l'ai signalé lors de ma première intervention, nombre de mes collègues aussi, sur ces bancs comme sur ceux du Sénat. C'est une loi d'affichage animée d'une idéologie conservatrice et répressive. Elle fait plaisir à la majorité à vous entendre, je n'en doute pas ! et s'inscrit dans la droite ligne des lois sécuritaires proposées à partir...
De plus, et contrairement à ce que vous dites, monsieur le rapporteur, ce projet remet en cause certains principes fondamentaux de notre droit comme l'individualisation des peines,