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Sur les 1 200 médecins conseils, certains sont affectés à la gestion des ressources humaines alors qu'ils seraient mieux employés à faire ce pour quoi ils ont été formés.
Merci pour votre intervention et pour cette conclusion qui nous invite à la modestie mais aussi à la ténacité. La Mission d'évaluation et de contrôle des lois de financement de la sécurité sociale (MECSS) a ensuite procédé à l'audition de M. Robert Nicodème, membre du Conseil national de l'Ordre des médecins.
Je souhaite la bienvenue à M. Robert Nicodème, membre du Conseil national de l'Ordre des médecins.
Le récent rapport de l'Inspection générale des affaires sociales (IGAS) sur l'information des médecins sur les médicaments propose de renforcer cette taxe sur la promotion, dans la mesure où le dispositif qu'elle vise est susceptible d'inciter à la consommation pharmaceutique. Que pensez-vous de cette recommandation ?
Revenons à l'objet de la mission d'évaluation et de contrôle. Peut-être pouvez-vous dire quelques mots de la formation des médecins, madame la ministre, avant que nous vous posions d'autres questions.
Je souhaite la bienvenue à M. Pierre-Louis Bras, coauteur du rapport de l'inspection générale des affaires sociales (IGAS), de septembre 2007, relatif à « l'information des médecins généralistes sur le médicament », et M. Aquilino Morelle, coauteur du rapport de l'IGAS, d'août 2007, relatif à « l'encadrement des programmes d'accompagnement des patients associés à un traitement médicamenteux, financés par les entreprises pharmaceutiques ».
L'UFC-Que choisir propose la constitution d'un corps de quelque 1 700 délégués, dont un tiers de médecins et deux tiers d'infirmières. Au regard des contraintes budgétaires et de la démographie médicale et paramédicale, cette idée est bien théorique.
La mise en place d'un corps de quelque 1 700 intervenants constitué de médecins pour un tiers et d'infirmières pour deux tiers entraînerait un transfert vers la Haute Autorité de santé des fonds affectés actuellement par l'assurance maladie à l'action des délégués de l'assurance maladie, les DAM. Il convient aussi de prendre en considération les incidences techniques et statutaires d'une telle réforme, à un moment où l'assurance maladie s'emploie à optimiser sa politique de...
Cependant les DAM, quelles que soient par ailleurs leurs compétences, ne sont ni des médecins ni des infirmières.
Donc la proportion d'un tiers de médecins et de deux tiers d'infirmiers est un objectif de moyen ou de long terme.
Il n'est nullement dans notre intention de nous prononcer sur les responsabilités respectives des médecins et des patients. Le praticien, détenteur du savoir médical, est évidemment en position dominante. Inversement, la demande de la part du patient ne saurait être niée. À côté de cela, beaucoup d'informations circulent sur l'Internet et échappent aux réseaux structurés qui garantissent la certification sanitaire des produits, notamment le réseau des pharmaciens. Ces derniers, de par l'obligation d...
J'aimerais que nous abordions aussi le sujet des molécules onéreuses, car environ 30 % de l'augmentation des dépenses de médicaments en ville résultent du transfert de prescriptions hospitalières vers la médecine de ville.
L'objectif que nous partageons est celui de la santé de nos concitoyens et, dans ce cadre, chacun doit assumer ses responsabilités : le médecin prescrit, le pharmacien délivre. Il ne faudrait donc pas donner l'impression que l'on fait ici le procès des uns ou des autres, d'autant que le niveau des professionnels de santé français est remarquable et qu'ils recherchent systématiquement le travail en équipe. Cela étant, la formation en pharmacologie des médecins est faible, en formation initiale comme en formation médicale continue, et il ...
Pourriez-vous nous indiquer concrètement à combien d'heures de formation correspondent ces FMC obligatoires et conventionnelles ? Ce qui nous intéresse est de savoir, au-delà des textes, quelle est la formation continue dont bénéficient effectivement les médecins sur le terrain. J'aimerais aussi connaître votre sentiment sur les logiciels d'aide à la prescription.
Merci. La Mission d'évaluation et de contrôle des lois de financement de la sécurité sociale a ensuite procédé à l'audition de M. Pierre Levy, secrétaire général de la Confédération des syndicats médicaux français, M. Jean-Louis Caron, secrétaire général du Syndicat des médecins libéraux, M. Félix Benouaich, président de l'Alliance intersyndicale des médecins indépendants de France, accompagné de M. Jean-Gabriel Brun, vice-président, et M. Martial Olivier-Koehret, président de MG France.
L'Inspection générale des affaires sociales (IGAS), dans son récent rapport sur l'information des médecins sur les médicaments recommande que la HAS soit l'interlocuteur unique pour dispenser l'information à destination des prescripteurs, afin de clarifier le rôle et l'articulation avec l'AFSSAPS. Quel est votre avis à ce sujet ?
La philosophie du système de santé mais aussi les modes de financement des médecins diffèrent beaucoup entre ces trois pays.