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Il faut à tout prix défendre le secrétariat des anciens combattants et l'ONAC que le Gouvernement se défend de vouloir privatiser, mais dont une fondation de droit privé va reprendre des actifs, ce qui est une manière d'aller vers le privé, comme d'habitude.
...fférentielle pour les conjoints de survivant sur le seuil de pauvreté européen, soit 817 euros voyez où nous en sommes ! et déduire les loyers du montant des ressources. Ne pas le faire reviendrait à affirmer que les engagements de M. Sarkozy n'étaient que du vent, que des promesses qui n'ont pas engagé celui qui les a formulées mais seulement ceux qui les ont écoutées. Loin de pérenniser l'ONAC, le Gouvernement a procédé, monsieur le secrétaire d'État, à sa réduction caricaturale. La preuve en est l'instauration d'un guichet unique qui ne serait plus tenu que par trois personnes dans chaque département et encore à temps partiel , en dehors des missions qui fondent aujourd'hui les valeurs de l'office. Ses missions seraient d'ailleurs éclatées vers le privé, du moins en ce qui concerne...
...comme je le pense : j'en ai assez de constater qu'on mégote pour un point ou deux de la rente mutualiste. À chaque fois que les associations, après avoir fait pression, obtiennent une amélioration de la situation des anciens combattants c'est souvent à la veille d'élections , cette dernière prend toujours une forme proche de la mendicité et on fait immanquablement appel aux fonds sociaux de l'ONAC. Or, je le sais, la dignité des anciens combattants les amène à refuser d'être traités comme des assistés. Nous devons les comprendre et les respecter. Je ne reprendrai pas les arguments de Jacques Desallangre, mais ce budget est effectivement en baisse, et ne tient pas compte de l'inflation ! Il ne comporte aucune mesure nouvelle, même s'il a probablement fallu réserver quelques fonds sociaux q...