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...ois un agrément, délivré par le préfet de région, pour l'implantation des entreprises et des administrations. Existe-t-il encore ? Cela me paraît intéressant pour vérifier que l'on s'est bien intéressé à la question des transports et à celle de l'habitat. Pour ce qui est de la politique générale de la SNCF, votre prédécesseur avait la réputation de ne pas souhaiter de nouveaux investissements en Île-de-France. Le réseau ne fonctionnant pas, il pensait qu'il en serait de même pour les nouveaux investissements, et que tout le monde serait encore plus mécontent, parce que les nouveaux investissements n'apporteraient pas d'amélioration. On lui prêtait la volonté d'investir plutôt dans le TGV, dans lequel il voyait l'avenir de la SNCF, et non sur le réseau ferré d'Île-de-France. Comment vous positionnez-vo...
Trois grands opérateurs interviennent en Île-de-France : la RATP, la SNCF et RFF. Est-ce trop ? Un opérateur unique des réseaux RATP et RER, permettant notamment une unité de commandement et de gestion des personnels, serait-il préférable ? Cette formule résoudrait-elle les problèmes d'interopérabilité qui ont été évoqués ? Le rapprochement entre lieu d'habitat et lieu de travail préoccupe bien sûr les maires que nous sommes. Mais il faut savoir que...
Je souhaite une précision sur l'effet double lame. J'appartiens à une communauté d'agglomération et j'ai le sentiment que ma commune est concernée par cet effet : d'après les chiffres que je peux connaître, elle cotisera et au fonds national et au fonds de solidarité d'Île-de-France. Y a-t-il bien, en effet, cotisation aux deux ?
Conforter la place de premier plan qu'occupent Paris et l'Île-de-France face à la concurrence croissante des grandes métropoles internationales, tout en réduisant les inégalités territoriales, tel doit être le défi que votre projet de loi sur le Grand Paris doit relever. L'État se doit de proposer un développement équilibré pour toute la région Île-de-France. Ce projet ne peut pas réserver les équipements en infrastructures au coeur de l'agglomération parisienne, qu...
Depuis sa création en 1965, l'Essonne a vu sa population plus que doubler, passant de 480 000 à 1 207 500 habitants. A elle seule, elle a absorbé plus de 25 % de la croissance démographique de toute l'Île-de-France. Malheureusement, celle-ci ne s'est pas accompagnée d'une croissance économique équivalente. Aujourd'hui, l'Essonne compte 597 000 actifs et seulement 450 000 emplois. Cela signifie concrètement que de nombreux Essonniens sont contraints de travailler souvent très loin de leur domicile, au prix de plusieurs heures de transports, dans des conditions très souvent difficiles à cause d'infrastructur...