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En 2010, la commission avait déjà reçu M. Dov Zerah peu avant sa nomination à la direction générale de l'AFD, et c'est tout naturellement qu'elle le reçoit de nouveau aujourd'hui pour dresser le bilan de sa première année d'exercice, d'autant plus que la situation internationale a été largement bouleversée depuis. Les révolutions arabes ont changé la donne, notamment en Tunisie premier bénéficiaire des financements de l'Agence. De même, la crise ivoirienne et ses incidences régionales, la situation da...
On ne peut pas rapporter les 700 millions consacrés à l'Afrique francophone aux 7 milliards d'engagements de l'AFD car ceux-ci sont principalement constitués de prêts.
...mpétentes. La loi organique relative à l'application de cet article ne fera l'objet d'un vote définitif que dans quelques semaines. Toutefois, vous le savez, les commissions compétentes ont d'ores et déjà entendu des personnalités pressenties, pour occuper des emplois concernés par cette nouvelle procédure, avant leur nomination en conseil des ministres. La nomination du directeur général de l'AFD est la seule pour laquelle la commission des affaires étrangères aura compétence pour donner son avis. Mais aujourd'hui cette audition publique ne donnera lieu à aucun vote. Le troisième mandat de M. Jean-Michel Severino est arrivé à échéance à la fin du mois d'avril et je demanderai à M. Zerah de nous présenter les orientations et les projets qu'il entend définir pour l'AFD. M. Zerah, l'AFD ne...
Pourriez-vous nous présenter votre projet pour l'AFD ? Pensez-vous que des inflexions doivent être apportées à la manière dont elle travaille ? Si c'est le cas, lesquelles ? Une mission d'information créée au sein de notre commission s'interroge actuellement sur l'équilibre entre les volets multilatéral et bilatéral de l'aide au développement française. Quelle est votre opinion sur ce sujet ? L'une des évolutions les plus marquantes intervenues a...
Comme je l'ai indiqué tout à l'heure, la loi organique n'étant pas en vigueur, nous ne sommes officiellement saisis d'aucun projet de nomination. Par ailleurs, il n'existe pas, à ma connaissance, d'autre candidat à la direction générale de l'AFD.
Il s'agit là d'un « point dur ». Pour accomplir ses fonctions bancaires, l'AFD a besoin d'avoir les mains libres. La mettre automatiquement sous l'autorité du ministère des affaires étrangères, c'est restreindre son action dans ce domaine envers les gouvernements étrangers.
En effet, malgré l'arbitrage rendu, le texte conduit à une remise en cause de l'autonomie de l'AFD.
Nous touchons à la confidentialité des relations entre les États. La disposition existante du projet de loi va-t-elle favoriser l'action générale de l'AFD ? À mon sens, au contraire, elle risque de la freiner.