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Le pouvoir d'achat, cela se mesure aussi sur le terrain, et nous avons parfois l'impression de ne pas vivre dans le même pays. Si l'on ne voit pas la baisse du pouvoir d'achat due à l'augmentation des dépenses contraintes, c'est qu'on ne veut pas la voir ! Avec cet amendement, nous vous proposons de faire un geste significatif pour réduire les...
Très bien ! (L'amendement n° 117 n'est pas adopté.)
On voit bien le débat que suscite cette prime, d'ailleurs contestée sur tous les bancs, et particulièrement dans la majorité. M. de Courson considère qu'il faut la donner à tous, et, après tout, on peut comprendre. Y aurait-il de bonnes entreprises, de bons salariés dans certaines entreprises ? M. Novelli, lui, préfère que l'on utilise le systè...
C'est une très bonne initiative !
Ce n'est pas toujours vrai !
Nous aussi !
Nous ne comprenons pas pourquoi vous avez fixé la barre à cinquante salariés. Il y aurait donc les heureux bénéficiaires de la prime dans les entreprises de plus de cinquante salariés, tous les autres étant rejetés, car travaillant dans de trop petites entreprises. Nous ne comprenons pas la raison de ce blocage : y aurait-il les bons salariés e...
Jean-Patrick Gille a brillamment montré ce que pourrait être l'apprentissage de notre point de vue qui n'est pas tout à fait le même que le vôtre. Nous pouvons cependant être d'accord sur une chose : votre échec en matière d'emploi des jeunes depuis huit ans. 23 % de chômage chez les jeunes, aujourd'hui, c'est beaucoup trop ! Vous en êtes parf...
Permettez-moi, monsieur le président, de dire quelques mots sur ce sujet !
L'emploi saisonnier, l'ouverture à l'intérim, l'apprentissage avant quinze ans, l'enchaînement des contrats introduisent une flexibilité qui n'aurait pas lieu d'être dans des contrats d'apprentissage sérieux.
M. Joyandet semble s'agacer. Quant à M. Novelli, il va finir par rejoindre cette partie de l'hémicycle. (Sourires.)
En tout cas, il reprend nos arguments que nous n'avons cessé de répéter.
Comme nous, il a fait remarquer que cela ne relevait pas de la loi, mais du dialogue social. Certes, il tient compte de la crise, et c'est pour cette raison qu'il souhaite que les dispositions prennent fin au 31 décembre 2011. Mais dans le même temps, il indique que la sortie de crise se confirme. Pourtant le ministre lui répond que le disposi...
Oui, pourquoi ?
A juste titre !
Tout de même !
Et voilà !
C'est un signe d'amour !
En effet !