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Est-ce ainsi que vous faites en sorte d'étendre les pouvoirs du CSA ? Deuxièmement, et puisque M. Martin-Lalande fait preuve de sollicitude, je veux bien l'imiter : le CSA n'ayant plus les moyens d'accomplir les quelques tâches que vous lui laissez, il faut lui en donner davantage. Encore un petit effort : nous pourrions modifier la désignatio...
Merci pour le CSA et pour son avenir ! (Applaudissements sur les bancs du groupe SRC.)
Bien vu !
Eh oui !
Ne dites pas qu'elle sera plus libre ! Retirez ce mot !
Et de tuer RFI !
C'est vraiment de la diversion !
C'est le moins que l'on puisse dire !
Un peu de modestie !
Qu'il continue donc !
À mort, la presse !
Il serait quand même curieux, monsieur le président, madame la ministre, monsieur le secrétaire d'État, au moment où notre assemblée réfléchit à la révision de nos institutions, qu'elle ne se pose pas la question de la place des médias audiovisuels dans l'équilibre démocratique, et j'espère, mes chers collègues, que vous n'êtes pas choqués qu'o...
Après avoir entendu l'orateur précédent, on ne peut que vous donner raison, monsieur le député ! Dans une période où la presse traverse une crise grave, je pense qu'il y a beaucoup mieux à faire que de lui infliger de nouveaux coups bas. Car que veut le Président ? tout contrôler ? tout maîtriser, jusqu'à l'AFP ? Ainsi, madame la ministre, ce...
de lui donner la voix de César
puisque je vais prendre celle de Marius. « César c'est-à-dire M. le secrétaire d'État : Je vais t'expliquer le picon-citron-curaçao.
« Tu mets d'abord un tiers de curaçao. Fais attention : un tout petit tiers. » Il s'agit du tiers dévolu à l'opposition. « Bon. Maintenant un tiers de citron. Un peu plus gros. Bon. » C'est le tiers de la majorité.
Mais elle pourrait parfois nous embêter. « Ensuite, un bon tiers de Picon. Regarde la couleur. Regarde comme c'est joli. » Eh oui : c'est celui du Gouvernement ! Vive le Picon ! « Et à la fin, un grand tiers d'eau. » Et Marius c'est-à-dire moi d'observer naïvement : « Mais ça fait quatre tiers. César : Exactement. Marius : Dans un verre...
« Marius : Mais non, ça ne dépend pas ! César (triomphal) : Alors explique-moi comment j'en ai mis quatre dans ce verre. Marius : C'est de l'arithmétique. César c'est toujours M. le secrétaire d'État : Quand on ne sait plus quoi dire, on cherche à détourner la conversation. » (Rires et applaudissements sur les bancs du groupe socialiste,...
Je voulais tout simplement vous dire qu'il ne faut plus détourner cette conversation et qu'il importe de regarder la situation en face : le rôle du Président de la République n'est plus celui qu'il était il y a une vingtaine d'années. (« Ah ! bon ! » sur les bancs du groupe de l'Union pour un mouvement populaire.) Eh oui ! Quand j'étais chargé ...
Je ne lui en veux pas : il a tous les droits. Mais il est à ce moment-là tout à fait légitime que son temps de parole soit décompté d'une façon régulière. On m'oppose voyez la diversion les discours qu'il prononce quand il rend hommage à un mort ou quand il représente l'intérêt supérieur de la nation dans des occasions tout à fait capitale...