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S'agissant de l'amendement précédent, je précise que la commission en avait examiné un autre plus radical tendant à demander au Gouvernement d'engager d'emblée une revalorisation plus forte des retraites, qui est malheureusement tombé sous le coup de l'article 40. Je comprends que le rapporteur se soit senti, à titre personnel, libre de voter l...
Madame la ministre, monsieur le ministre, nous en arrivons à l'examen d'articles qui sont essentiels au regard des enjeux auxquels nous sommes collectivement confrontés dans nos territoires, quelles que soient nos appartenances politiques. Il nous semble que vous avez donné le sentiment de découvrir une situation qui, pourtant, ne fait que s'a...
Tout à fait ! à hauteur de la moitié des charges correspondant à leur installation dans des territoires en difficulté, qu'il s'agisse de territoires ruraux, dont nous parlons souvent, ou de territoires urbains ? Car la question de l'accès à la médecine, de l'accès aux soins ne se pose pas uniquement dans les territoires ruraux. Madame la min...
Madame la présidente, je précise que mes observations vaudront pour les amendements que le Gouvernement a déposés à l'article 32 et à l'article 33. Tout d'abord, je ne peux pas vous laisser dire, madame la ministre, que nous aurions « poussé » le mouvement des internes. Quelle curieuse conception des mouvements sociaux que celle qui consiste à...
et elle n'aurait sans doute pas passé le barrage du Conseil d'État. Il faudrait au moins que vous précisiez quelles sont ces mesures « notamment incitatives ».
Nous apprécions le fait que le ministre des relations sociales vienne participer à nos débats ; j'espère simplement qu'il ne tardera pas trop. Sans reprendre la discussion d'hier soir, nous regrettons en revanche que la ministre de la santé ne soit pas parmi nous au moment où nous examinons un article qui fixe des objectifs de dépenses de sécur...
Aux avocats !
Un trou d'air !
Je demande la parole pour un rappel au règlement.
Fondé sur l'article 58-1, monsieur le président. Nous ne saurions trop vous remercier, monsieur le ministre, pour la constance de votre présence, contrairement à d'autres membres du Gouvernement. C'est sans doute votre solitude sur les bancs ministériels
qui, ce matin, vous a amené à répondre, suite à l'interpellation d'un certain nombre d'entre nous à propos de l'évolution des régimes de retraites dans notre pays, que nous ne pouvions pas invoquer des dépêches de presse qui multiplient les conditionnels. Or permettez-moi de vous signaler non plus une dépêche, mais un article publié dans Le Mo...
En quelque sorte le Journal officiel de la République française, car chacun sait que ce quotidien s'informe auprès des meilleures sources gouvernementales ! (Exclamations sur les bancs du groupe de l'Union pour un mouvement populaire.)
Cet amendement est défendu, monsieur le président.
Cet article nous apprend que la retraite à cinquante-cinq ans des avocats est un sujet de négociation avec la chancellerie face à la suppression des tribunaux !
Qu'est-ce à dire ?
M. Bertrand, qui n'a pas jugé utile de faire autre chose que « trois petits tours et puis s'en vont » parmi nous, explique à longueur d'interviews aux organisations syndicales, lesquelles ont manifesté à cet égard leur déception, qu'il y a une chose et une seule, qui n'est pas négociable : l'allongement de la durée de cotisation à quarante annu...
Monsieur Bur, je suis effondrée ! Il n'est pas sérieux, au moment où de nombreuses catégories professionnelles sont amenées à consentir des efforts, non négligeables pour elles, au nom de ce que vous appelez l'équité, et où des négociations sont engagées, que l'on apprenne par voie de presse que le Gouvernement, le même, ouvre des discussions a...
Mais enfin, si l'on estime que des compensations doivent être envisagées, et s'il est alors normal que le ministre de la justice puisse les évoquer et en débattre avec les partenaires concernés, il me paraît en revanche inacceptable que cette variable de compensation soit précisément celle que l'on refuse, au nom de l'équité, à d'autres salarié...
Si des négociations sont en cours, cela signifie que c'est négociable ! Alors pourquoi n'est-ce pas négociable pour tout le monde ?
Cela n'a rien à voir avec de l'obstruction !