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Nous ne nous étions pas opposés à la création des agences régionales de santé ; aujourd'hui, il est peut-être temps de regretter la façon dont elles sont mises en place. L'article 6 le montre bien : les ARS ne disposent pas encore des moyens qui permettraient de mener des politiques territorialisées en matière sanitaire et sociale.
J'ajoute qu'il ne s'agit pas seulement et je le dis à Louis Giscard d'Estaing de faire rentrer davantage de recettes dans le budget de la sécurité sociale et celui de l'État, même si c'est évidemment un élément important. Nous avons appris l'augmentation spectaculaire des chiffres du chômage au mois de septembre. Or, parmi les chômeurs, les...
On attend beaucoup !
afin de marquer notre volonté d'aller plus loin dans la discussion et d'engager une réflexion sur la signification actuelle des allégements de cotisations. (Exclamations sur les bancs du groupe UMP.)
J'avais parfaitement compris !
Franchement, madame la ministre, nous ne sommes pas tous des imbéciles, et ne méritons pas que vous employiez un ton si désagréable pour nous parler. Vous savez fort bien que vous n'êtes pas les détenteurs d'une vérité immuable que les socialistes, tous au niveau bac moins dix, seraient incapables de comprendre.
Nous l'avons répété tout au long de la discussion de ce projet de loi de financement : pour nous, il est injuste d'augmenter le taux de la taxe payée par les mutuelles, en particulier sur les contrats d'assurance maladie solidaires. En effet, cela revient à accroître la charge pesant sur les patients. Nous dénonçons cette mesure et notre amende...
Hier, votre collègue Xavier Bertrand disait qu'il ne suffit pas de parler fort pour avoir raison. Vous devriez l'écouter, madame la ministre : il ne suffit pas de crier dans le micro pour avoir raison ! (Exclamations sur les bancs du groupe UMP.)
Il est donc relativement facile pour ce groupe de ne pas répercuter l'évolution du coût de la santé sur ses adhérents. Cet amendement est un amendement important : il y va du coût de la santé pour nos concitoyens.
Si nous voulons poursuivre le débat de manière sereine, il est souhaitable que chacun retrouve son calme afin que nous puissions échanger des arguments de façon courtoise.
Les amendements que nous examinons méritent le débat, si l'on se réfère aux réactions qu'ils suscitent de part et d'autre de l'hémicycle. Comme l'a dit Mme Billard, la pente des allégements peut être définie comme nous le souhaitons. D'ailleurs, lorsque le gouvernement de 2005 qui n'était pas un gouvernement de gauche a fait passer les allé...
Le débat portant sur l'emploi des personnes occupant le bas de l'échelle des salaires mérite d'être posé, surtout quand on sait que les seniors et les jeunes sont confrontés à un chômage croissant.
Dans ce contexte, il est évident que nous devons réorienter les dispositifs existants, qui ont montré leurs limites.
Et vous, que faites-vous ?
Nous proposons un autre dispositif ayant le même objectif. En effet, nous savons que ce sont les femmes qui subissent de plein fouet le travail à temps partiel, même s'il y a également des hommes qui souhaiteraient pouvoir travailler davantage que les horaires qui leur sont proposés. Entre 1997 et 2002, le travail à temps partiel subi a diminu...
Mais je ne crois pas que la solution réside dans ce que propose le Gouvernement. Si tel était le cas, nous ne devrions pas assister depuis dix ans à une détérioration du marché de l'emploi comme celle que nous connaissons et à une telle dégradation de l'économie française. Vous êtes donc fort mal placé, monsieur Bur, pour nous donner des leçons...
Je veux simplement rappeler que l'essentiel est de connaître le véritable coût de la santé pour les Français, et de savoir à combien vous les taxez pour avoir le droit d'accéder à un médecin, à un médicament. Vous pouvez enrober votre politique de n'importe quel habillage, la vérité sera toujours la même : vous ne taxez pas les réserves qui,...
La gauche française considère elle aussi que la relance de l'emploi passe par la relance de la compétitivité des entreprises françaises.
J'abonderai dans le sens de Jean Mallot en disant simplement que cet article est l'expression même de la stratégie que vous avez adoptée, qui consiste à procéder à des hausses de prélèvements de manière insidieuse. Vous nous accusez de vouloir augmenter les prélèvements, vous nous accusez de vouloir taxer davantage mais, en réalité, c'est ce qu...
Comme le disait Jean Mallot, l'histoire retiendra la manière dont on fabrique les lois de financement de la sécurité sociale. C'est pour essayer d'éviter l'adoption d'un article qui apparaît négatif que l'on ajuste au petit bonheur la chance les autres prélèvements. Tout cela n'est ni sérieux ni scientifique. Si nous sommes opposés à l'assujet...