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je rappelle néanmoins que l'amendement en prévoit trois. Reste qu'à un moment où l'on se préoccupe beaucoup de la nécessité de mieux prendre en charge les maladies mentales et les troubles psychiatriques, il faut réaffirmer, à l'occasion de la discussion du présent texte,
l'accès direct à la psychiatrie comme à la gynécologie médicale ou à l'ophtalmologie.
Mais non !
Il n'y a pas besoin de la loi pour faire une étude !
Le texte du Gouvernement s'inscrit clairement dans une logique d'État et les conseils régionaux apparaissent comme les grands absents de la réorganisation du système de santé, ce qui nous paraît particulièrement regrettable s'agissant de la constitution des CHT. Depuis le début de nos débats, madame la ministre, vous avez fait dit à plusieurs ...
Il faudrait donc tout régionaliser !
Avec vous-même, peut-être !
Madame la présidente, madame la ministre, monsieur le rapporteur, cet amendement prolonge les interventions de mes deux collègues et l'amendement de M. Préel. Il s'agit d'inscrire dans la loi de manière plus visible la nécessité de prendre en considération les droits du patient dans la réalisation des différents projets hospitaliers. Vous alle...
Mon intervention portera également sur cette possibilité que semble offrir le projet de loi de recruter des directeurs d'établissements hospitaliers publics en dehors de la fonction publique hospitalière. Je veux bien admettre que l'on se soucie de diversifier le recrutement pour la direction des hôpitaux et que l'on considère que les personne...
Je demande la parole pour un rappel au règlement.
Alors que nous abordons un article important du projet de loi ils le sont tous, du reste en essayant de défendre nos positions, nous trouvons en face de nous des parlementaires de la majorité qui n'acceptent pas l'expression, dans cet hémicycle, de positions différentes des leurs. (Exclamations sur les bancs du groupe UMP.)
Le bruit, voire le chahut qui ont accompagné les propos de Patrick Roy sont inadmissibles. (Mêmes mouvements.) Nous ne souhaitons pas faire monter la pression ni recourir à des artifices de procédure. Mais si le débat devait se poursuivre dans de telles conditions, je serais amenée à demander une suspension de séance. (Mêmes mouvements.)
Monsieur Bur, vous êtes très énervé. Vous ne laissez pas les parlementaires de nos bancs s'exprimer.
Il suffit de le regarder, monsieur le président.
Je veux encore croire que nos débats pourront reprendre dans la sérénité. Si tel n'est pas le cas, il sera nécessaire de respirer un peu d'air frais. (Applaudissements sur les bancs du groupe SRC.)
Ils n'ont pas besoin de nous !
L'amendement n° 1045 va dans le même sens que le précédent. Mais je voudrais dire à M. Bur que si la droite était si satisfaite des réformes de l'hôpital qu'elle a mises en oeuvre depuis quinze ans, comme il dit, on se demande pourquoi il lui semble nécessaire, tous les trois ans, de remettre l'ouvrage sur le métier ! On se demande si, véritab...
et pourquoi la tarification à l'activité ne répond pas aux objectifs que vous lui avez assignés. On se demande pourquoi les médecins hospitaliers sont écrasés de travail
et en ont assez ! Ils le disent, d'ailleurs, sans avoir besoin de nous.