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, a souhaité savoir quel était le rôle de l'orientateur, des enseignants et des parents et l'influence qu'ils peuvent avoir.
, a souligné que dans nos stéréotypes la femme est plus dévolue aux tâches de soins que les hommes.
, a souligné que la loi d'orientation et de programme sur l'école votée en 2005 aurait dû l'imposer.
, a rappelé les difficultés qui ont présidé à la mise en place des cours d'éducation sexuelles avec lequel on peut dresser une analogie. Toutes les inégalités hommes-femmes trouvent leur racine dans ces problèmes éducatifs. Tant qu'ils ne seront pas réglés, les textes seront inutiles. Or, des responsables politiques ne s'emparent pas de ce suje...
, a insisté sur la nécessité de rendre cette question visible et de lui donner un écho dans les média en ciblant précisément les journaux auxquels on s'adresse, car c'est un point fondamental pour comprendre pourquoi aujourd'hui on en est toujours au même point en matière d'égalité professionnelle. En outre, le concept d'inégalité hommes-femme...
, a remercié Mme Françoise Vouillot.
, après avoir remercié Mme Élise Moison d'avoir répondu à l'invitation de la délégation, a précisé que l'Association Force femmes avait pour objectif : d'accompagner dans leur démarche, des femmes en recherche d'emploi ; de faciliter leur retour à la vie professionnelle en favorisant leur mise en relation avec des employeurs potentiels ; ...
, après avoir remarqué que l'association remplissait, somme toute, la mission de l'ANPE, a souhaité savoir comment ces femmes entraient en contact avec elle.
a remarqué qu'effectivement les femmes de plus de quarante-cinq ans se heurtaient à des difficultés particulières d'accès au marché du travail alors que l'on pourrait aussi penser qu'elles font preuve d'une disponibilité plus grande.
a demandé si l'association apportait un soutien à la création d'entreprises et Mme Catherine Quéré a souhaité savoir si l'intervention de l'association était gratuite.
et Mme Catherine Quéré ont insisté sur l'utilité pour l'association de se mettre en rapport avec les régions qui sont compétentes en matière de formation et peuvent aider à la création d'entreprises.
a remercié Mme Élise Moison.
, a remercié Mmes Marie-Alice Medeuf-Andrieux, Valérie Chartier et Martine Derobert, d'avoir répondu à l'invitation de la Délégation. Elle a observé, au préalable, que si la loi de 2006 sur l'égalité professionnelle est venue en complément de la loi de 2001, il aurait sans doute mieux valu se montrer plus actif dans l'application de cette dern...
a demandé si « aller plus loin », ce n'est pas ce qu'elle-même a appelé « faire respecter les lois ».
a noté qu'il faut obtenir la tenue de véritables négociations au sein des entreprises.
a noté que des adaptations nécessaires en direction des PME-PMI auraient dû être faites. Certes, on a obtenu, en 2004, que le MEDEF vienne à la table des négociations, mais trois ans ont été perdus avec le vote de la loi 2006. Aussi convient-il de faire preuve de pédagogie pour expliquer la loi, mais assurément sans en voter une nouvelle, car c...
s'en est étonnée et a souhaité savoir qui les contestait.
a tenu alors à rappeler que les indicateurs pertinents demeurent en tout état de cause la meilleure base de négociation puisqu'ils permettent de mesurer réellement où en est l'égalité entre les hommes et les femmes au sein de l'entreprise en évaluant l'embauche, la formation, les conditions de travail, l'évolution de la carrière et les rapports...
s'en est dite tout à fait convaincue, tout en reconnaissant être inquiète sur la façon dont les indicateurs pertinents sont perçus dans les entreprises.
a constaté que la loi de 2001 n'est toujours pas acceptée par certains partenaires sociaux. D'ailleurs les accords de 2004 ne reposaient pas sur la loi de 2001. Elle a également tenu à rappeler qu'elle avait précisé en 2006 que la nouvelle loi venait compléter celle de 2001 ; du reste, les textes d'application s'appuient sur la loi de 2001. Ent...