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a demandé des précisions sur la mesure avancée par le gouvernement consistant, dans cette situation, à renvoyer la prise en charge des veuves avec des enfants à des accords de prévoyance et à l'action sociale de la branche famille. »
a demandé s'il leur semblait possible d'obtenir des mesures ciblées en faveur des femmes.
a demandé quelle allait être la mobilisation syndicale sur cette question.
a remercié les intervenantes.
a rappelé que, dans l'enseignement supérieur, seulement 17 % des professeurs et 38 % des maîtres de conférence sont des femmes. Devant cet état de fait, il faut s'interroger sur les conséquences des modes de recrutement et de constitution des jurys, notamment sur la composition non paritaire des jurys de concours d'agrégation de l'enseignement ...
s'étonnant de cette explication, Mme Armelle Le Bras-Chopard a précisé que cela correspond à la réalité des témoignages des agrégées de province mariées et chargées de famille.
a demandé si chaque université était dotée d'une chargée de mission parité et si ce n'était justement pas leur rôle de tenir ces statistiques ?
s'est alors interrogée sur le rôle des chargés de mission. Si l'on veut obtenir des résultats, il faut identifier les missions et procéder à des évaluations.
a estimé que la question de l'égalité ne semble pas véritablement intégrée dans les actions et s'est inquiétée des résultats obtenus.
a tout de même déploré le peu de résultats obtenus.
a remercié Mme Le Bras-Chopard.
a souligné que, malgré des résultats souvent excellents au baccalauréat, les filles ne s'orientent que trop peu vers les carrières scientifiques. Quelle analyse les trois associations auditionnées font-elles de ce phénomène ? Quelle est leur action pour tenter de l'inverser ?
a rappelé que la série S résulte de la fusion, en 1995, des séries C, D et E. Cette réforme a-t-elle été une bonne chose ?
a demandé comment les associations pouvaient peser sur l'action du ministère de l'éducation nationale.
s'est demandé pourquoi ce phénomène était moins accentué pour les générations précédentes.
a rappelé que la Délégation a choisi ce thème de travail car le problème de départ est un problème d'éducation. Se référant à son expérience de professeur de lettres classiques, Mme Martine Martinel a observé que les représentations des disciplines recoupent des représentations sociales. Il est fâcheux que les professeurs soient amenés à défen...
a remarqué que cela ne semble pas une priorité du ministère.
s'est proposée pour relayer cette demande. La question de l'égalité professionnelle est primordiale. La lutte contre les violences faites aux femmes est systématiquement mise en avant, mais la première façon de respecter une femme est de lui permettre d'exister en lui offrant une situation qui garantisse son indépendance.
s'est alarmée de l'absence d'implication des jeunes générations.
a remercié les intervenantes et a indiqué qu'elle allait intervenir auprès de M. Xavier Darcos pour le saisir des nombreux sujets d'inquiétude que cette audition a permis de mieux cerner.